Investing.com - Le dollar U.S. s'est retrouvé sur la défensive face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, dans le sillage de la publication de chiffres américains décevants, étouffant ainsi les rumeurs de diminution imminente des coups de pouce de son émettrice.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi jusqu'à un creux journalier devant le yen, l'USD/JPY se rétractant de 0,42% pour se retrouver à 98,31.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a en effet déploré 7,3% de commandes de biens durables en moins pour juillet, dépassant largement les 4% déjà redoutés, et constituant du même coup leur pire déconvenue depuis août 2012.
Celles de base, excluant les moyens de transport en raison de leur volatilité, limitaient cependant la casse à 0,6%, soit à peine pire que les 0,5% anticipés.
Il avait déjà enregistré vendredi sans crier gare 13,4% de transactions de moins sur des biens immobiliers fraîchement construits pour le mois passé, leur pire revers en plus de trois ans.
Ces contre-performances ont du coup semé le doute sur l'opportunité d'un coup de frein aux 85 milliards d'USD d'assouplissements quantitatifs mensuels de la Réserve Fédérale dès septembre.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD prenant 0,06% pour monter à 1,3386.
La monnaie unique gardait des couleurs après qu'un membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne ait déclaré vendredi ne pas voir beaucoup d'arguments en faveur d'une baisse des taux suite aux bons résultats récemment révélés.
Le billet vert a moins bien résisté à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,23% pour s'élever à 1,5603.
Le franc suisse a pour sa part réussi à renverser la vapeur, l'USD/CHF se rétractant de 0,04% pour toucher le fond à 0,9214, après avoir pourtant caracolé à 0,9246.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD grimpant de 0,20% pour se retrouver à 0,9043, le NZD/USD empochant 0,55% pour culminer à 0,7850 et l'USD/CAD prenant 0,10% pour monter à 1,0508.
Il avait été signalé à l'aube que le solde de la balance commerciale de la Nouvelle-Zélande avait plongé sans crier gare depuis un excédent de 374 millions de NZD jusqu'à un déficit de 774 millions de NZD en juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,08% pour se situer à 81,34.
Les transactions avaient toutes les chances de rester rares aujourd'hui, les places londoniennes demeurerant inactives en raison d'un jour férié.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi jusqu'à un creux journalier devant le yen, l'USD/JPY se rétractant de 0,42% pour se retrouver à 98,31.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a en effet déploré 7,3% de commandes de biens durables en moins pour juillet, dépassant largement les 4% déjà redoutés, et constituant du même coup leur pire déconvenue depuis août 2012.
Celles de base, excluant les moyens de transport en raison de leur volatilité, limitaient cependant la casse à 0,6%, soit à peine pire que les 0,5% anticipés.
Il avait déjà enregistré vendredi sans crier gare 13,4% de transactions de moins sur des biens immobiliers fraîchement construits pour le mois passé, leur pire revers en plus de trois ans.
Ces contre-performances ont du coup semé le doute sur l'opportunité d'un coup de frein aux 85 milliards d'USD d'assouplissements quantitatifs mensuels de la Réserve Fédérale dès septembre.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD prenant 0,06% pour monter à 1,3386.
La monnaie unique gardait des couleurs après qu'un membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne ait déclaré vendredi ne pas voir beaucoup d'arguments en faveur d'une baisse des taux suite aux bons résultats récemment révélés.
Le billet vert a moins bien résisté à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,23% pour s'élever à 1,5603.
Le franc suisse a pour sa part réussi à renverser la vapeur, l'USD/CHF se rétractant de 0,04% pour toucher le fond à 0,9214, après avoir pourtant caracolé à 0,9246.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD grimpant de 0,20% pour se retrouver à 0,9043, le NZD/USD empochant 0,55% pour culminer à 0,7850 et l'USD/CAD prenant 0,10% pour monter à 1,0508.
Il avait été signalé à l'aube que le solde de la balance commerciale de la Nouvelle-Zélande avait plongé sans crier gare depuis un excédent de 374 millions de NZD jusqu'à un déficit de 774 millions de NZD en juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,08% pour se situer à 81,34.
Les transactions avaient toutes les chances de rester rares aujourd'hui, les places londoniennes demeurerant inactives en raison d'un jour férié.