Investing.com - Le dollar U.S. était largement en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, la nouvelle de la victoire du candidat sortant ayant renforcé l'attente d'une poursuite de la politique monétaire assouplie de la Réserve Fédérale.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.28% pour grimper à 1.2849.
Le président Barack Obama a en effet battun son concurrent républicain Mitt Romney en dépassant largement les 270 votes du collège électoral nécessaires pour être assuré d'un second mandat.
Le précipice fiscal était désormais au centre des débats, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier, ce qui pourrait mettre un frein l'expansion économique des Etats-Unis et donc de la planète à moins d'un accord entre les différentes factions en lice.
La nervosité était aussi de plus en plus palpable, alors que le parlement grec s'apprêtait à voter aujourd'hui à propos du plan d'austérité nécessaire à l'attribution de la prochaine tranche d'aides financières.
La monnaie unique n'avait guère fait cas des informations émanant des autorités selon lesquelles les ventes au détail dans la région où elle a cours avaient trébuché de 0.2% en septembre, au lieu des 0.1% déjà redoutés.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.09% pour se hisser à 1.6009.
Il a d'autre fait mieux que résister à la pression du yen, l'USD/JPY arrachant 0.02% pour se retrouver à 80.37, mais a succombé à celle du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.32% pour tomber à 0.9398.
La Banque Nationale Suisse avait auparavant fait savoir que ses réserves de devises avaient chuté depuis leur record de 429.5 milliards de CHF jusqu'à 424.4 milliards pour octobre, laissant du coup à penser qu'elle avait réduit l'ampleur de ses opérations sur le marché des changes destinées à maintenir le plafond de 1.2 par rapport à l'euro.
Des chiffres officiels montraient quand à eux que les prix à la consommation avaient frémi de seulement 0.01% dans le même temps, au lieu des 0.3% envisagés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.37% pour aller vers 0.9884, l'AUD/USD raflant 0.25% pour monter à 1.0459 et le NZD/USD engrangeant 0.31% pour culminer à 0.8298.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.21% pour se situer à 80.54.
L'Allemagne comptait de son côté dévoiler en cours de journée le volume de la production de ses industries.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.28% pour grimper à 1.2849.
Le président Barack Obama a en effet battun son concurrent républicain Mitt Romney en dépassant largement les 270 votes du collège électoral nécessaires pour être assuré d'un second mandat.
Le précipice fiscal était désormais au centre des débats, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier, ce qui pourrait mettre un frein l'expansion économique des Etats-Unis et donc de la planète à moins d'un accord entre les différentes factions en lice.
La nervosité était aussi de plus en plus palpable, alors que le parlement grec s'apprêtait à voter aujourd'hui à propos du plan d'austérité nécessaire à l'attribution de la prochaine tranche d'aides financières.
La monnaie unique n'avait guère fait cas des informations émanant des autorités selon lesquelles les ventes au détail dans la région où elle a cours avaient trébuché de 0.2% en septembre, au lieu des 0.1% déjà redoutés.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.09% pour se hisser à 1.6009.
Il a d'autre fait mieux que résister à la pression du yen, l'USD/JPY arrachant 0.02% pour se retrouver à 80.37, mais a succombé à celle du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.32% pour tomber à 0.9398.
La Banque Nationale Suisse avait auparavant fait savoir que ses réserves de devises avaient chuté depuis leur record de 429.5 milliards de CHF jusqu'à 424.4 milliards pour octobre, laissant du coup à penser qu'elle avait réduit l'ampleur de ses opérations sur le marché des changes destinées à maintenir le plafond de 1.2 par rapport à l'euro.
Des chiffres officiels montraient quand à eux que les prix à la consommation avaient frémi de seulement 0.01% dans le même temps, au lieu des 0.3% envisagés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.37% pour aller vers 0.9884, l'AUD/USD raflant 0.25% pour monter à 1.0459 et le NZD/USD engrangeant 0.31% pour culminer à 0.8298.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.21% pour se situer à 80.54.
L'Allemagne comptait de son côté dévoiler en cours de journée le volume de la production de ses industries.