Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce vendredi, quelques chiffres positifs américains ayant de nouveau fait miroiter la possibilité d'une fermeture anticipée de robinets de son émettrice.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,49% pour tomber à 1,3517.
Ce premier demeurait en effet fragilisée après qu'il ait été montré hier que l'inflation du bloc l'ayant adopté avait été le mois passé la plus faible en quatre ans, faisant enfler les bruits affirmant qu'une baisse des taux Banque Centrale Européenne pourrait de nouveau avoir lieu.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a ainsi mesuré 0,7% d'augmentation des prix au détail pour octobre, la plus minime depuis novembre 2009, constituant un coup de frein par rapport aux 1,1% ayant précédé.
Il était aussi à noter que le chômage de la région s'était maintenu à 12,2% en septembre, son plus haut niveau de tous les temps.
Les bonnes nouvelles provenant des Etats-Unis avaient auparavant ranimé le spectre d'une fermeture des robinets de leur banque centrale qui pourrait intervenir plus tôt que prévu.
Il a ainsi été signalé hier que l'activité manufacturière dans la région de Chicago avait connu le mois passé son bond le plus important en trente ans, et que les nouvelles inscriptions au chômage avaient diminué sans grande surprise lors de la semaine achevée le 25 octobre.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,27% pour chuter à 1,5993.
Le groupe de recherches économiques Markit avait révélé dans la matinée que son baromètre du secteur secondaire britannique avait fondu depuis 56,3 après révision à la baisse jusqu'à 56,0, alors que 56,1 étaient déjà redoutés.
Le yen a par contre fait mieux que résister, l'USD/JPY laissant échapper 0,06% pour déraper à 98,30, mais le franc suisse a subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,37% pour culminer à 0,9099.
L'indice des directeurs des achats helvètes établi par le l'association des logisticiens SVME s'est rétracté depuis 55,3 vers 54,2 pour le mois passé, alors qu'un sursaut à 55,5 était espéré.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD arrachant 0,12% pour se retrouver à 0,9465, le NZD/USD se laissant arracher 0,01% pour toucher le fond à 0,8264 et l'USD/CAD reculant de 0,13% pour descendre à 1,0417.
Il avait été souligné à l'aube que les prix à la production de l'Australie avaient bondi de 1,3% au troisième trimestre, soit bien plus que les 0,7% anticipés à la suite des 0,1% ayant précédé.
Les valeurs dépendantes des exportations ont aussi regagné du mordant après que le baromètre officiel de l'activité des usines de la Chine s'était élevé de 51,1 vers 51,4, sa plus forte valeur en 18 mois.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,26% pour se situer à 80,55.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec des informations portant leur secteur secondadire, fournies par l'institut de gestion des approvisionnements.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,49% pour tomber à 1,3517.
Ce premier demeurait en effet fragilisée après qu'il ait été montré hier que l'inflation du bloc l'ayant adopté avait été le mois passé la plus faible en quatre ans, faisant enfler les bruits affirmant qu'une baisse des taux Banque Centrale Européenne pourrait de nouveau avoir lieu.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a ainsi mesuré 0,7% d'augmentation des prix au détail pour octobre, la plus minime depuis novembre 2009, constituant un coup de frein par rapport aux 1,1% ayant précédé.
Il était aussi à noter que le chômage de la région s'était maintenu à 12,2% en septembre, son plus haut niveau de tous les temps.
Les bonnes nouvelles provenant des Etats-Unis avaient auparavant ranimé le spectre d'une fermeture des robinets de leur banque centrale qui pourrait intervenir plus tôt que prévu.
Il a ainsi été signalé hier que l'activité manufacturière dans la région de Chicago avait connu le mois passé son bond le plus important en trente ans, et que les nouvelles inscriptions au chômage avaient diminué sans grande surprise lors de la semaine achevée le 25 octobre.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,27% pour chuter à 1,5993.
Le groupe de recherches économiques Markit avait révélé dans la matinée que son baromètre du secteur secondaire britannique avait fondu depuis 56,3 après révision à la baisse jusqu'à 56,0, alors que 56,1 étaient déjà redoutés.
Le yen a par contre fait mieux que résister, l'USD/JPY laissant échapper 0,06% pour déraper à 98,30, mais le franc suisse a subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,37% pour culminer à 0,9099.
L'indice des directeurs des achats helvètes établi par le l'association des logisticiens SVME s'est rétracté depuis 55,3 vers 54,2 pour le mois passé, alors qu'un sursaut à 55,5 était espéré.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD arrachant 0,12% pour se retrouver à 0,9465, le NZD/USD se laissant arracher 0,01% pour toucher le fond à 0,8264 et l'USD/CAD reculant de 0,13% pour descendre à 1,0417.
Il avait été souligné à l'aube que les prix à la production de l'Australie avaient bondi de 1,3% au troisième trimestre, soit bien plus que les 0,7% anticipés à la suite des 0,1% ayant précédé.
Les valeurs dépendantes des exportations ont aussi regagné du mordant après que le baromètre officiel de l'activité des usines de la Chine s'était élevé de 51,1 vers 51,4, sa plus forte valeur en 18 mois.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,26% pour se situer à 80,55.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec des informations portant leur secteur secondadire, fournies par l'institut de gestion des approvisionnements.