Investing.com - L'euro s'est élevé vers des pics de plusieurs mois face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, après que la plus haute instance judiciaire de l'Allemagne ait autorisé le pays à participer au nouveau fonds de secours permanent régional, tandis que l'idée de nouveaux accomodements de la part de la Réserve Fédérale continuait à le tirer vers le bas.
En fin de ppremière partie de séance européenne, il faisait fléchir le dollar U.S. aux abords d'un sommet de quatre mois, l'EUR/USD gagnant 0.53% pour grimper à 1.2922.
L'arrêt de la cour constitutionnelle allemande a ainsi donné son feu vert à la ratification sous conditions par le président germanique du traité instaurant le MES, permettant du même coup à la Banque Centrale Européenne d'entamer son programme d'achats d'actifs.
L'institution a en effet précisé que l'engagement national ne devait pas dépasser 190 milliards d'euros sans l'aval des députés, et que le parlement devait être tenu au courant des décisions à ce sujet.
Jean-Claude Juncker, chef de l'Eurogroupe, a ensuite déclaré que le MES serait au plus tôt opérationnel au premier janvier 2013.
L'étalon américain demeurait fortement boudé en raison de l'idée selon laquelle la Fed pourrait lancer une troisième série d'injections de capitaux en conclusion de sa réunion prenant fin jeudi.
Il en a été de même avec la livre sterling, qui lui a cédé de quoi s'établir au plus haut des deux mois écoulés, l'EUR/GBP prenant 0.26% pour se hisser à 0.802.
Il était à noter que le Royaume-Uni comptait ce matin 15 000 demandeurs d'emploi de moins pour août, alors que 500 de plus étaient redoutés, donnant ainsi un coup de fouet à la devise de la Grande-Bretagne.
Le taux de chômage national a cependant augmenté, passant de 8 à 8.1%, alors que les experts espéraient qu'il y stagne.
Le yen et le franc suisse ont également subi sa pression, l'EUR/JPY raflant 0.56% pour se retrouver à 100.52 et l'EUR/CHF avançant de 0.14% vers 1.2084.
Ses homologues canadienne et néo-zélandaise ont par ailleurs subi sa domination, mais pas l'australienne, l'EUR/AUD trébuchant de 0.08% pour glisser à 1.2312, l'EUR/AUD encaissant 0.53% pour se situer à 1.2578 et l'EUR/NZD arrachant 0.02% pour frémir à 1.5731.
L'Italie a de son côté vu les coûts de ses emprunts diminuer fortement lors d'une mise aux enchères de bons du trésor à trois et douze mois de la mi-journée, grâce à l'espoir que les dirigeants de la région prennent de nouvelles initiatives pour juguler le problème de son surendettement.
En fin de ppremière partie de séance européenne, il faisait fléchir le dollar U.S. aux abords d'un sommet de quatre mois, l'EUR/USD gagnant 0.53% pour grimper à 1.2922.
L'arrêt de la cour constitutionnelle allemande a ainsi donné son feu vert à la ratification sous conditions par le président germanique du traité instaurant le MES, permettant du même coup à la Banque Centrale Européenne d'entamer son programme d'achats d'actifs.
L'institution a en effet précisé que l'engagement national ne devait pas dépasser 190 milliards d'euros sans l'aval des députés, et que le parlement devait être tenu au courant des décisions à ce sujet.
Jean-Claude Juncker, chef de l'Eurogroupe, a ensuite déclaré que le MES serait au plus tôt opérationnel au premier janvier 2013.
L'étalon américain demeurait fortement boudé en raison de l'idée selon laquelle la Fed pourrait lancer une troisième série d'injections de capitaux en conclusion de sa réunion prenant fin jeudi.
Il en a été de même avec la livre sterling, qui lui a cédé de quoi s'établir au plus haut des deux mois écoulés, l'EUR/GBP prenant 0.26% pour se hisser à 0.802.
Il était à noter que le Royaume-Uni comptait ce matin 15 000 demandeurs d'emploi de moins pour août, alors que 500 de plus étaient redoutés, donnant ainsi un coup de fouet à la devise de la Grande-Bretagne.
Le taux de chômage national a cependant augmenté, passant de 8 à 8.1%, alors que les experts espéraient qu'il y stagne.
Le yen et le franc suisse ont également subi sa pression, l'EUR/JPY raflant 0.56% pour se retrouver à 100.52 et l'EUR/CHF avançant de 0.14% vers 1.2084.
Ses homologues canadienne et néo-zélandaise ont par ailleurs subi sa domination, mais pas l'australienne, l'EUR/AUD trébuchant de 0.08% pour glisser à 1.2312, l'EUR/AUD encaissant 0.53% pour se situer à 1.2578 et l'EUR/NZD arrachant 0.02% pour frémir à 1.5731.
L'Italie a de son côté vu les coûts de ses emprunts diminuer fortement lors d'une mise aux enchères de bons du trésor à trois et douze mois de la mi-journée, grâce à l'espoir que les dirigeants de la région prennent de nouvelles initiatives pour juguler le problème de son surendettement.