Investing.com - La livre sterling a cédé du terrain au dollar U.S. lors des échanges raréfiés de ce lundi après-midi, profitant toujours des rumeurs de poursuite l'année prochaine des rachats d'actifs de l'émettrice de son adversaire.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,6256 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,6258, trébuchant de 0,07%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,6114, son plancher du 22 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1,6255, son plafond datant du lendemain.
Les Etats-Unis comptent en effet conclure la journée avec les chiffres de leur production industrielle, et le volume des ventes de logements en cours.
L'attention était monopolisée par la Réserve Fédérale, à l'avant-veille de sa prise de cap mensuelle, alors qu'elle semblait fortement disposée à poursuivre ses rachats d'actifs à leur niveau actuel jusqu'au premier trimestre 2014.
La révision vers le bas du moral des ménages des Etats-Unis à son pire niveau en 10 mois pour octobre mise en relief vendredi avait d'autre part renforcé la crainte des conséquences des 16 jours de paralysie ayant récemment frappé les administrations américaines.
La devise de la Grande-Bretagne n'a guère fait cas de l'étude de la confédération des entreprises britanniques faisant savoir que seulement 2% des magasins du pays avaient constaté une augmentations de leurs ventes, au lieu des 34% d'octobre.
Elle demeurait malgré toout en forme, après qu'il ait été montré que l'économie du Royaume-Uni avait connu entre début juillet et fin septembre son expansion la plus forte en trois ans.
Le bureau britannique des statistiques a ainsi constaté vendredi qu'elle avait gonflé de 0,8% au cours du trimestre et de 1,5% d'une année sur l'autre.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP laissant échapper 0,04% pour glisser à 0,8534.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,6256 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,6258, trébuchant de 0,07%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,6114, son plancher du 22 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1,6255, son plafond datant du lendemain.
Les Etats-Unis comptent en effet conclure la journée avec les chiffres de leur production industrielle, et le volume des ventes de logements en cours.
L'attention était monopolisée par la Réserve Fédérale, à l'avant-veille de sa prise de cap mensuelle, alors qu'elle semblait fortement disposée à poursuivre ses rachats d'actifs à leur niveau actuel jusqu'au premier trimestre 2014.
La révision vers le bas du moral des ménages des Etats-Unis à son pire niveau en 10 mois pour octobre mise en relief vendredi avait d'autre part renforcé la crainte des conséquences des 16 jours de paralysie ayant récemment frappé les administrations américaines.
La devise de la Grande-Bretagne n'a guère fait cas de l'étude de la confédération des entreprises britanniques faisant savoir que seulement 2% des magasins du pays avaient constaté une augmentations de leurs ventes, au lieu des 34% d'octobre.
Elle demeurait malgré toout en forme, après qu'il ait été montré que l'économie du Royaume-Uni avait connu entre début juillet et fin septembre son expansion la plus forte en trois ans.
Le bureau britannique des statistiques a ainsi constaté vendredi qu'elle avait gonflé de 0,8% au cours du trimestre et de 1,5% d'une année sur l'autre.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP laissant échapper 0,04% pour glisser à 0,8534.