Investing.com - La livre sterling a pris l'avantage sur le dollar U.S. ce jeudi, les yeux étant tournés vers les prises de cap imminentes de la Banque d'Angleterre et de la Banque Centrale Européenne.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.6117 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.6114, grignotant 0.12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6012, son plancher du 3 décembre, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.6129, son plafond de mensuel établi mardi.
La banque centrale britannique devrait normalement opter pour le statu quo avec un maintien de son taux d'intérêt directeur à 0.5% et du volume de son programme d'acquisition d'actifs à 375 milliards de GBP.
Mais la devise de la Grande-Bretagne se trouvait fragilisée après que George Osborne, chancelier de l'échiquier et chargé des finances du pays, ait avoué hier que les prévisions gouvernementales laissaient à penser qu'un des objectifs de réduction des déficits ne serait pas atteint, poussant l'agence de notation Fitch Ratings à brandir la menace d'une perte de sa notation triple A.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que le déficit du commerce extérieur du Royaume-Uni avait davantage augmenté que redouté, la demande extérieure ayant plongé.
Le bureau national des statistiques l'a ainsi vu grimper de 8.4 vers 9.5 milliards de GBP pour octobre, au lieu des 8.8 milliards envisagés.
La monnaie à l'effigie de la reine a par ailleurs faiit mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.03% pour glisser à 0.8115.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.6117 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.6114, grignotant 0.12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6012, son plancher du 3 décembre, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.6129, son plafond de mensuel établi mardi.
La banque centrale britannique devrait normalement opter pour le statu quo avec un maintien de son taux d'intérêt directeur à 0.5% et du volume de son programme d'acquisition d'actifs à 375 milliards de GBP.
Mais la devise de la Grande-Bretagne se trouvait fragilisée après que George Osborne, chancelier de l'échiquier et chargé des finances du pays, ait avoué hier que les prévisions gouvernementales laissaient à penser qu'un des objectifs de réduction des déficits ne serait pas atteint, poussant l'agence de notation Fitch Ratings à brandir la menace d'une perte de sa notation triple A.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que le déficit du commerce extérieur du Royaume-Uni avait davantage augmenté que redouté, la demande extérieure ayant plongé.
Le bureau national des statistiques l'a ainsi vu grimper de 8.4 vers 9.5 milliards de GBP pour octobre, au lieu des 8.8 milliards envisagés.
La monnaie à l'effigie de la reine a par ailleurs faiit mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.03% pour glisser à 0.8115.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.