Investing.com - La livre sterling n'a presque pas pris le dessus face au dollar U.S. ce lundi, les places londoniennes demeurerant inactives en raison d'un jour férié, sur fond d'incertitudes au sujet de l'éventuelle diminution des coups de pouce de l'émettrice de son adversaire.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5584 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5574, grignotant 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5537, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,5636, son plafond établi le même jour.
Le billet vert a en effet quitté un piédestal de trois semaines après que le département d'état au commerce américain ait enregistré sans crier gare 13,4% de transactions de moins sur des biens immobiliers fraîchement construits pour le mois passé, leur pire revers en plus de trois ans.
Cette contre-performance a du coup semé le doute sur la reprise dans le domaine du logement national, et sur l'opportunité d'un coup de frein aux 85 milliards d'USD d'assouplissements quantitatifs mensuels de la Réserve Fédérale dès septembre.
La devise de la Grande-Bretagne avait retrouvé le sourire après qu'il ait été mis en évidence une augmentation de 0,7% du produit intérieur brut du pays, dépassant légèrement les 0,6% envisagés.
Les yeux étaient aussi tournés vers le discours que Mark Carney, récement nommé gouverneur de la Banque d'Angleterre, tiendra mercredi, avec la crainte que cette dernière opte pour le statu quo, comme elle l'avait laissé anticiper.
Elle avait ainsi annoncé en début de mois son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans..
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,12% pour glisser à 0,8583.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5584 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5574, grignotant 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5537, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,5636, son plafond établi le même jour.
Le billet vert a en effet quitté un piédestal de trois semaines après que le département d'état au commerce américain ait enregistré sans crier gare 13,4% de transactions de moins sur des biens immobiliers fraîchement construits pour le mois passé, leur pire revers en plus de trois ans.
Cette contre-performance a du coup semé le doute sur la reprise dans le domaine du logement national, et sur l'opportunité d'un coup de frein aux 85 milliards d'USD d'assouplissements quantitatifs mensuels de la Réserve Fédérale dès septembre.
La devise de la Grande-Bretagne avait retrouvé le sourire après qu'il ait été mis en évidence une augmentation de 0,7% du produit intérieur brut du pays, dépassant légèrement les 0,6% envisagés.
Les yeux étaient aussi tournés vers le discours que Mark Carney, récement nommé gouverneur de la Banque d'Angleterre, tiendra mercredi, avec la crainte que cette dernière opte pour le statu quo, comme elle l'avait laissé anticiper.
Elle avait ainsi annoncé en début de mois son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans..
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,12% pour glisser à 0,8583.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables.