Investing.com - La livre sterling a creusé une ornière journalière face au dollar U.S. ce mardi, l'attrait pour les valeurs sûres se trouvant exacerbé par la crainte d'une action militaire des Etats-Unis contre le gouvernement de la Syrie.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5507 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 15 août, puis s'est stabilisée vers 1,5508, perdant 0,42%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5475, son plancher psychologique suivant, et de rencontrer de la résistance à 1,5591, son plafond du jour.
Le billet vert a en effet repris du poil de la bête après que le secrétaire d'état américain John Kerry ait déclaré que le président Obama mettrait les autorités de Damas devant leurs responsabilités en cas d'emploi avéré d'armes chimiques contre la population.
Les inquiétudes au sujet de l'économie américaine persistaient en raison des résultats peu glorieux révélés récemment.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a en effet déploré hier 7,3% de commandes de biens durables en moins pour juillet, dépassant largement les 4% déjà redoutés, et constituant du même coup leur pire déconvenue depuis août 2012.
Il avait déjà enregistré vendredi sans crier gare 13,4% de transactions de moins sur des biens immobiliers fraîchement construits pour le mois passé, leur pire revers en plus de trois ans.
Ces contre-performances ont du coup semé le doute sur l'opportunité d'un coup de frein aux 85 milliards d'USD d'assouplissements quantitatifs mensuels de la Réserve Fédérale dès septembre.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,12% pour se hisser à 0,8593.
L'institut Ifo pour la recherche économique avait auparavant présenté son baromètre de la confiance des entreprises allemandes, lequel était passé de 106,2 à 107,5 pour août, son niveau le plus élevé en 16 mois, au lieu des 107,0 espérés.
Celui évaluant la situation actuelle suivait le même chemin de 110,1 à 112,0, alors qu'il n'était pas envisagé qu'il dépasse 110,9.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5507 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 15 août, puis s'est stabilisée vers 1,5508, perdant 0,42%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5475, son plancher psychologique suivant, et de rencontrer de la résistance à 1,5591, son plafond du jour.
Le billet vert a en effet repris du poil de la bête après que le secrétaire d'état américain John Kerry ait déclaré que le président Obama mettrait les autorités de Damas devant leurs responsabilités en cas d'emploi avéré d'armes chimiques contre la population.
Les inquiétudes au sujet de l'économie américaine persistaient en raison des résultats peu glorieux révélés récemment.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a en effet déploré hier 7,3% de commandes de biens durables en moins pour juillet, dépassant largement les 4% déjà redoutés, et constituant du même coup leur pire déconvenue depuis août 2012.
Il avait déjà enregistré vendredi sans crier gare 13,4% de transactions de moins sur des biens immobiliers fraîchement construits pour le mois passé, leur pire revers en plus de trois ans.
Ces contre-performances ont du coup semé le doute sur l'opportunité d'un coup de frein aux 85 milliards d'USD d'assouplissements quantitatifs mensuels de la Réserve Fédérale dès septembre.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,12% pour se hisser à 0,8593.
L'institut Ifo pour la recherche économique avait auparavant présenté son baromètre de la confiance des entreprises allemandes, lequel était passé de 106,2 à 107,5 pour août, son niveau le plus élevé en 16 mois, au lieu des 107,0 espérés.
Celui évaluant la situation actuelle suivait le même chemin de 110,1 à 112,0, alors qu'il n'était pas envisagé qu'il dépasse 110,9.