Investing.com - La livre sterling s'est tirée de l'ornière face au dollar U.S. ce mercredi, après que son émettrice se soit engagée à maintenir les coûts des emprunts consentis aux banques à leur plus bas niveaux de tous les temps jusqu'à ce que la proportion des demandeurs d'emploi diminue nettement là où elle a cours.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1,5203, son cours le plus bas depuis lundi, jusqu'à 1,5345 en fin de première partie de séance européenne, limitant les dégâts à 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5156, son plancher du 18 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,5377, son plafond de lundi.
Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, a en effet révélé que celle-ci compterait offrir un taux d'intrêt directeur de 0,5% jusqu'à ce que le taux de chômage britannique, actuellement situé à 7,8%, repasse sous la barre des 7%, précisant estimer que les chances qu'une telle éventualité se réalise étaient minces pour les trois années à venir.
Il a cependant ajouté que l'emploi n'était pas une fin en soi, et que l'objectif évoqué pourrait être mis de côté au cas où la stabilité financière serait mise en péril, au cas où l'inflation à moyen terme attendue devait gonfler ou si il était prévue qu'elle dépasse 2,5%.
L'autorité monétaire du Royaume-Uni a rappeléé que même si la reprise "s'enracinait", la croissance demeurerait toutefois probablement "faible par rapport à ce qu'elle a été".
Elle devrait ainsi se contenter de 0,6% pour le trimestre en cours, pour atteindre 2,6% annualisés en 2015, au lieu des 2,2% anticipés précédemment.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,01% pour se hisser à 0, 8669, après avoir culminé à 0,8731.
Il avait auparavant été souligné que la production industrielle de l'Allemagne avait bondi de 2,4% en juin, dépassant ainsi largement les 0,3% espérés.
Le volume supérieur aux attentes des commandes passées auprès des usines du pays avait déjà confirmé la veille l'idée d'un renforcement de la relance régionale.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1,5203, son cours le plus bas depuis lundi, jusqu'à 1,5345 en fin de première partie de séance européenne, limitant les dégâts à 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5156, son plancher du 18 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,5377, son plafond de lundi.
Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, a en effet révélé que celle-ci compterait offrir un taux d'intrêt directeur de 0,5% jusqu'à ce que le taux de chômage britannique, actuellement situé à 7,8%, repasse sous la barre des 7%, précisant estimer que les chances qu'une telle éventualité se réalise étaient minces pour les trois années à venir.
Il a cependant ajouté que l'emploi n'était pas une fin en soi, et que l'objectif évoqué pourrait être mis de côté au cas où la stabilité financière serait mise en péril, au cas où l'inflation à moyen terme attendue devait gonfler ou si il était prévue qu'elle dépasse 2,5%.
L'autorité monétaire du Royaume-Uni a rappeléé que même si la reprise "s'enracinait", la croissance demeurerait toutefois probablement "faible par rapport à ce qu'elle a été".
Elle devrait ainsi se contenter de 0,6% pour le trimestre en cours, pour atteindre 2,6% annualisés en 2015, au lieu des 2,2% anticipés précédemment.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,01% pour se hisser à 0, 8669, après avoir culminé à 0,8731.
Il avait auparavant été souligné que la production industrielle de l'Allemagne avait bondi de 2,4% en juin, dépassant ainsi largement les 0,3% espérés.
Le volume supérieur aux attentes des commandes passées auprès des usines du pays avait déjà confirmé la veille l'idée d'un renforcement de la relance régionale.