Investing.com - La livre sterling a laissé le dollar U.S. prendre l'avantage ce mercredi, alors que le chef de son émettrice devrait bientôt présenter les résultats d'une étude concernant la fourniture d'informations sur les évolutions futures des taux d'intérêt.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5299 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5301, perdant 0,30%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5257, son plancher du 5 août, et de rencontrer de la résistance à 1,5377, son plafond d'hier.
Mark Carney, le nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, devrait en effet faire savoir combien de temps celle-ci compte maintenir les taux d'intérêt actuellement à leur plus bas niveau historique, lors de la conférence de presse qui suivra la publication de son bulletin trimestriel sur l'inflation.
Ses projections de croissance économique seront probablement revues vers le haut suite aux études montrant que le secteur tertiaire du Royaume-Uni avait connu en juillet sa plus forte expansion en six ans et demi et que la production manufacturée avait bondi le mois précédent.
Les propos tenus hier par de hauts responsables de la banque centrale des Etats-Unis ont en effet ravivé l'angoisse d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs dès le mois prochain.
Charles Evans, président de la réserve fédérale de Chicago, a notamment déclaré hier qu'une diminution des perfusions d'argent frais n'était pas exclue d'ici la fin de l'année, comme l'avait auparavant fait Dennis Lockhart, son homologue d'Atlanta.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,06% pour se hisser à 0,8675.
L'Allemagne comptait pour sa part divulguer aujourd'hui l'état de sa production industrielle, après que le volume supérieur aux attentes des commandes passées auprès des usines du pays aient confirmé l'idée d'un renforcement de la relance régionale.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5299 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5301, perdant 0,30%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5257, son plancher du 5 août, et de rencontrer de la résistance à 1,5377, son plafond d'hier.
Mark Carney, le nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, devrait en effet faire savoir combien de temps celle-ci compte maintenir les taux d'intérêt actuellement à leur plus bas niveau historique, lors de la conférence de presse qui suivra la publication de son bulletin trimestriel sur l'inflation.
Ses projections de croissance économique seront probablement revues vers le haut suite aux études montrant que le secteur tertiaire du Royaume-Uni avait connu en juillet sa plus forte expansion en six ans et demi et que la production manufacturée avait bondi le mois précédent.
Les propos tenus hier par de hauts responsables de la banque centrale des Etats-Unis ont en effet ravivé l'angoisse d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs dès le mois prochain.
Charles Evans, président de la réserve fédérale de Chicago, a notamment déclaré hier qu'une diminution des perfusions d'argent frais n'était pas exclue d'ici la fin de l'année, comme l'avait auparavant fait Dennis Lockhart, son homologue d'Atlanta.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,06% pour se hisser à 0,8675.
L'Allemagne comptait pour sa part divulguer aujourd'hui l'état de sa production industrielle, après que le volume supérieur aux attentes des commandes passées auprès des usines du pays aient confirmé l'idée d'un renforcement de la relance régionale.