Investing.com - La livre sterling a fléchi sous le poids du dollar U.S. ce mardi, mise à mal par les craintes découlant des incertitudes politiques grecques, ravivées par l'échec des premières tentatives de formation d'une coalition à la suite des élections de la fin de semaine dernière.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.614 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.6146, perdant 0.47%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.608, son plancher du 25 avril, et de rencontrer de la résistance à 1.6198, son plafond d'aujourd'hui.
Les observateurs demeuraient focalisés sur la situation de la Grèce, les dirigeants politiques continuant à tenir des négociations entre les formations, le parti de la Nouvelle Démocratie ne réussissant pas hier à former un gouvernement uni.
Le flou en découlant laissait à craindre que le pays n'ait pas d'autorités en place à temps pour l'attribution le mois prochain de sa prochaine tranche d'aides internationales, de nouvelles élections semblant être de plus en plus probables.
La nervosité restait de mise avec la France en ligne de mire, où le socialiste François Hollande, président nouvellement élu, a déclaré vouloir renégocier le pacte fiscal de la zone euro afin d'y stimuler la croissance.
La devise de la Grande-Bretagne est retombée de son piédestal de trois ans et demi par rapport à la monnaie unique, l'EUR/GBP grignotant 0.09% pour se hisser à 0.8066.
La zone euro verra d'autre part dans la journée la publication des performances de la production industrielle de l'Allemagne, après quoi Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, prendra la parole à Francfort.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.614 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.6146, perdant 0.47%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.608, son plancher du 25 avril, et de rencontrer de la résistance à 1.6198, son plafond d'aujourd'hui.
Les observateurs demeuraient focalisés sur la situation de la Grèce, les dirigeants politiques continuant à tenir des négociations entre les formations, le parti de la Nouvelle Démocratie ne réussissant pas hier à former un gouvernement uni.
Le flou en découlant laissait à craindre que le pays n'ait pas d'autorités en place à temps pour l'attribution le mois prochain de sa prochaine tranche d'aides internationales, de nouvelles élections semblant être de plus en plus probables.
La nervosité restait de mise avec la France en ligne de mire, où le socialiste François Hollande, président nouvellement élu, a déclaré vouloir renégocier le pacte fiscal de la zone euro afin d'y stimuler la croissance.
La devise de la Grande-Bretagne est retombée de son piédestal de trois ans et demi par rapport à la monnaie unique, l'EUR/GBP grignotant 0.09% pour se hisser à 0.8066.
La zone euro verra d'autre part dans la journée la publication des performances de la production industrielle de l'Allemagne, après quoi Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, prendra la parole à Francfort.