Investing.com - L'euro était largement en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi, le rebond général ayant suivi l'annonce par la Réserve Fédérale de nouveaux accomodements ayant perdu son élan, les craintes concernant les problèmes fiscaux espagnols assombrissant l'humeur.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant le dollar U.S. tout en restant aux abords d'un sommet des quatre mois écoulés, avec un couple EUR/USD perdant 0.16% pour tomber à 1.3107.
La monnaie unique a en effet plongé au plus bas des deux dernières journées de cotation après que la Banque Centrale Européenne ait signalé que le solde du compte courant de la région avait dégringolé de 14.3 vers 9.7 milliards d'euros pour juillet, alors que les experts ne pensaient pas le voir passer sous les 10 milliards.
Elle avait déjà perdu des plumes suite au rappel par Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la BCE, selon lequel l'Espagne aurait à demander un plan d'aide pour bénéficier du programme d'achats d'obligations de celle-ci.
Il avait auparavant été rapporté par l'agence de presse Reuters que Mariano Rajoy, premier ministre du pays, cherchait à retarder tout recours à une bouée de sauvetage, préférant toute autre stratégie possible, ajoutant que son gouvernement présenterait un nouveau plan de réformes économiques en fin de mois.
Le billet vert avaiit toutefois perdu des plumes après que la Fed ait déclaré jeudi qu'elle acquerrait 40 milliards de titres sécurisés adossés à des hypothèques tous les mois, jusqu'à ce que le marché de l'emploi sorte la tête de l'eau.
Elle a ajouté s'attendre à ne pas modifier des taux à court terme se situant à leur plus bas niveau historique avant la mi-2015 au plus tôt, soit six mois de plus qu'envisagé auparavant.
La livre sterling n'a guère pu l'éloigner de son pic des trois mois passés, l'EUR/GBP cédant 0.19% pour glisser à 0.8081.
Les spécialistes de l'immobilier britannique avaient auparavant fait savoir que les prix des logements du Royaume-Uni avaient reculé de 0.6ù pour septembre, après avoir dégringolé de 2.4% le mois précédent.
Le yen lui a également fait subir sa pression, l'EUR/JPY dérapant de 0.15% vers 102.79, mais pas le franc suisse, l'EUR/CHF arrachant 0.01% pour se hisser à 1.2169.
Ses homologues canadienne et néo-zélandaise l'ont également dominée, mais pas l'australienne, l'EUR/AUD gagnant 0.11% pour grimper à 1.246, l'EUR/CAD chutant de 0.1% pour reprendre pied à 1.2751 et l'EUR/NZD laissant échapper 0.08% pour descendre à 1.5822.
Du côté de la Nouvelle-Zélande, la Westpac Banking Corporation avait fait savoir en début de journée que son indice du moral des consommateurs était passé de 99.9 à 102.5 pour le troisième trimestre.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant le dollar U.S. tout en restant aux abords d'un sommet des quatre mois écoulés, avec un couple EUR/USD perdant 0.16% pour tomber à 1.3107.
La monnaie unique a en effet plongé au plus bas des deux dernières journées de cotation après que la Banque Centrale Européenne ait signalé que le solde du compte courant de la région avait dégringolé de 14.3 vers 9.7 milliards d'euros pour juillet, alors que les experts ne pensaient pas le voir passer sous les 10 milliards.
Elle avait déjà perdu des plumes suite au rappel par Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la BCE, selon lequel l'Espagne aurait à demander un plan d'aide pour bénéficier du programme d'achats d'obligations de celle-ci.
Il avait auparavant été rapporté par l'agence de presse Reuters que Mariano Rajoy, premier ministre du pays, cherchait à retarder tout recours à une bouée de sauvetage, préférant toute autre stratégie possible, ajoutant que son gouvernement présenterait un nouveau plan de réformes économiques en fin de mois.
Le billet vert avaiit toutefois perdu des plumes après que la Fed ait déclaré jeudi qu'elle acquerrait 40 milliards de titres sécurisés adossés à des hypothèques tous les mois, jusqu'à ce que le marché de l'emploi sorte la tête de l'eau.
Elle a ajouté s'attendre à ne pas modifier des taux à court terme se situant à leur plus bas niveau historique avant la mi-2015 au plus tôt, soit six mois de plus qu'envisagé auparavant.
La livre sterling n'a guère pu l'éloigner de son pic des trois mois passés, l'EUR/GBP cédant 0.19% pour glisser à 0.8081.
Les spécialistes de l'immobilier britannique avaient auparavant fait savoir que les prix des logements du Royaume-Uni avaient reculé de 0.6ù pour septembre, après avoir dégringolé de 2.4% le mois précédent.
Le yen lui a également fait subir sa pression, l'EUR/JPY dérapant de 0.15% vers 102.79, mais pas le franc suisse, l'EUR/CHF arrachant 0.01% pour se hisser à 1.2169.
Ses homologues canadienne et néo-zélandaise l'ont également dominée, mais pas l'australienne, l'EUR/AUD gagnant 0.11% pour grimper à 1.246, l'EUR/CAD chutant de 0.1% pour reprendre pied à 1.2751 et l'EUR/NZD laissant échapper 0.08% pour descendre à 1.5822.
Du côté de la Nouvelle-Zélande, la Westpac Banking Corporation avait fait savoir en début de journée que son indice du moral des consommateurs était passé de 99.9 à 102.5 pour le troisième trimestre.