Investing.com - Le dollar U.S. était en légère difficulté face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, le goût du risque ayant été encouragé par la réussite des enchères de dettes européennes, la prudence restant toutefois de mise avec la seconde journée de débats concernant le plan de sauvetage grec.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.32% pour grimper à 1.2905.
La monnaie unique a retrouvé des couleurs avec le succès des ventes d'obligations de l'Espagne et de la France.
La première a en effet finalement écoulé 6.6 milliards d'euros en bons du trésor, dépassant largement les 4.5 milliards prévus.
Ceux à quatre ans se sont situés à un taux de 4%, soit légèrement plus que les 3.9% des dernières enchères, tandis que ceux à neuf et dix ans bénéficiaient d'un recul, passant ainsi de 5.1 à 4.5% et de 6.98 en décembre à 5.4%.
La France a pour sa part proposé 8 milliards d'euros en bons du trésor à moyen et long terme, avec des dividendes en baisse.
Les investisseurs demeuraient nerveux alors que les négociations entre Lucas Papademos, premier ministre grec, et les créanciers privés du pays se poursuivaient, après avoir été interrompues la semaine dernière en raison de désaccords sur l'importance des pertes que devront essuyer ces derniers lors de l'échange de leurs titres.
Fitch a pour sa part révélé s'attendre à ce que les révisions de ses notations de six des membres de la zone euro, qui devraient être achevées fin janvier, entraînent des dégradations d'un à deux crans dans la plupart des cas.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.1% pour se hisser à 1.5454.
Le prêteur immobilier britannique Nationwide Building Society avait auparavant fait savoir que son indice de la confiance des consommateurs britanniques avait diminué sans prévenir en décembre, reculant jusqu'à 38 après s'être situé à 40 le mois précédent, et se retrouvant ainsi aux abords de son plancher à 36 établi en octobre, son niveau le plus faible depuis la mise en place de la mesure en 2004.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.03% pour se retrouver à 76.76 et l'USD/CHF glissant de 0.4% pour tomber à 0.9357.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine canadienne, mais pas par l'australienne ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.37% pour aller vers 1.0073, l'AUD/USD régressant de 0.18% pour descendre à 1.0415 et le NZD/USD laissant échapper 0.36% pour toucher le fond à 0.8013.
Une étude officielle signalait ce matin que l'Australie avait perdu 29 300 salariés en décembre, prenant à revers les experts espérant 10 000 créations d'emplois, tandis que le taux de chômage demeurait stable à 5.2%.
Une autre signalait pour sa part que l'inflation des prix à la consommation de la Nouvelle-Zélande avait ralenti au quatrième trimestre de manière inattendue.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.22% pour se situer à 80.44.
Les autorités des Etats-Unis devaient quand à elles divulguer cet après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers, mais aussi un rapport à propos de l'inflation des prix à la consommation, et un second concernant le volume des nouveaux inscrits au chômage mesuré par le gouvernement, sans oublier l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.32% pour grimper à 1.2905.
La monnaie unique a retrouvé des couleurs avec le succès des ventes d'obligations de l'Espagne et de la France.
La première a en effet finalement écoulé 6.6 milliards d'euros en bons du trésor, dépassant largement les 4.5 milliards prévus.
Ceux à quatre ans se sont situés à un taux de 4%, soit légèrement plus que les 3.9% des dernières enchères, tandis que ceux à neuf et dix ans bénéficiaient d'un recul, passant ainsi de 5.1 à 4.5% et de 6.98 en décembre à 5.4%.
La France a pour sa part proposé 8 milliards d'euros en bons du trésor à moyen et long terme, avec des dividendes en baisse.
Les investisseurs demeuraient nerveux alors que les négociations entre Lucas Papademos, premier ministre grec, et les créanciers privés du pays se poursuivaient, après avoir été interrompues la semaine dernière en raison de désaccords sur l'importance des pertes que devront essuyer ces derniers lors de l'échange de leurs titres.
Fitch a pour sa part révélé s'attendre à ce que les révisions de ses notations de six des membres de la zone euro, qui devraient être achevées fin janvier, entraînent des dégradations d'un à deux crans dans la plupart des cas.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.1% pour se hisser à 1.5454.
Le prêteur immobilier britannique Nationwide Building Society avait auparavant fait savoir que son indice de la confiance des consommateurs britanniques avait diminué sans prévenir en décembre, reculant jusqu'à 38 après s'être situé à 40 le mois précédent, et se retrouvant ainsi aux abords de son plancher à 36 établi en octobre, son niveau le plus faible depuis la mise en place de la mesure en 2004.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.03% pour se retrouver à 76.76 et l'USD/CHF glissant de 0.4% pour tomber à 0.9357.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine canadienne, mais pas par l'australienne ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.37% pour aller vers 1.0073, l'AUD/USD régressant de 0.18% pour descendre à 1.0415 et le NZD/USD laissant échapper 0.36% pour toucher le fond à 0.8013.
Une étude officielle signalait ce matin que l'Australie avait perdu 29 300 salariés en décembre, prenant à revers les experts espérant 10 000 créations d'emplois, tandis que le taux de chômage demeurait stable à 5.2%.
Une autre signalait pour sa part que l'inflation des prix à la consommation de la Nouvelle-Zélande avait ralenti au quatrième trimestre de manière inattendue.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.22% pour se situer à 80.44.
Les autorités des Etats-Unis devaient quand à elles divulguer cet après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers, mais aussi un rapport à propos de l'inflation des prix à la consommation, et un second concernant le volume des nouveaux inscrits au chômage mesuré par le gouvernement, sans oublier l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.