Investing.com - Le dollar U.S. restait largement en difficulté face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, bien que l'afflux des nouveaux chômeurs là où il a cours se soit maintenu aux abords de son niveau le plus bas depuis janvier 2008.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen jusqu'à approcher un creux de sept semaines, l'USD/JPY trébuchant de 0,10% pour se retrouver à 96,23.
Le département d'état au travail américain a en effet part dénombré 5.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 3 août, pour un total hebdomadaire de 330.000 après correction saisonnière, alors que celui de la précédente se situait à 328.000, après révision vers le haut des 326.000 préalablement avancés.
Le billet vert demeurait en effet en difficulté en raison du spectre d'une diminution imminente des coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Il en allait de même avec la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,14% pour se hisser à 1,5511, approchant un sommet de près de deux mois.
Celle-ci gardait la forme après que la Banque d'Angleterre se soit engagée hier à maintenir les coûts des emprunts consentis aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps jusqu'à ce que le chômage britannique repasse sous la barre des 7%.
L'euro gardait aussi l'avantage sur lui, l'EUR/USD gagnant 0,18% pour grimper à 1,3360, frôlant sa valeur la plus élevée depuis la mi-juin.
L'Allemagne avait auparavant signalé 0,6% d'exportations mensuelles supplémentaires pour juin, mais aussi 0,8% d'importations en moins.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,14% pour tomber à 0,9205.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,88% pour monter à 0,9079, le NZD/USD engrangeant 0,18% pour culminer à 0,7983 et l'USD/CAD régressant de 0,22% pour aller vers 1,0401.
La première, fortement liée à la croissance, avait repris des couleurs après que la Chine ait fait savoir à l'aube que ses exportations avaient grimpé de 5,1% d'une année sur l'autre en juin, dissipant le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Elle a aussi souligné que les importations bondissaient de 10,9% dans le même temps, laissant espérer un renforcement de la consommation nationale.
La nouvelle a du coup éclipsé le fait que l'économie du pays avait subi 10.200 destructions de postes le mois passé, au lieu des 5.000 déjà redoutés, bien que le taux de chômage se soit maintenu à 5,7%.
Les autorités du Canada ont de leur côté constaté une hausse de 0,2% de son indice des prix des logements, au lieu des 0,3% pressentis.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,17% pour se situer à 81,15.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen jusqu'à approcher un creux de sept semaines, l'USD/JPY trébuchant de 0,10% pour se retrouver à 96,23.
Le département d'état au travail américain a en effet part dénombré 5.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 3 août, pour un total hebdomadaire de 330.000 après correction saisonnière, alors que celui de la précédente se situait à 328.000, après révision vers le haut des 326.000 préalablement avancés.
Le billet vert demeurait en effet en difficulté en raison du spectre d'une diminution imminente des coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Il en allait de même avec la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,14% pour se hisser à 1,5511, approchant un sommet de près de deux mois.
Celle-ci gardait la forme après que la Banque d'Angleterre se soit engagée hier à maintenir les coûts des emprunts consentis aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps jusqu'à ce que le chômage britannique repasse sous la barre des 7%.
L'euro gardait aussi l'avantage sur lui, l'EUR/USD gagnant 0,18% pour grimper à 1,3360, frôlant sa valeur la plus élevée depuis la mi-juin.
L'Allemagne avait auparavant signalé 0,6% d'exportations mensuelles supplémentaires pour juin, mais aussi 0,8% d'importations en moins.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,14% pour tomber à 0,9205.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,88% pour monter à 0,9079, le NZD/USD engrangeant 0,18% pour culminer à 0,7983 et l'USD/CAD régressant de 0,22% pour aller vers 1,0401.
La première, fortement liée à la croissance, avait repris des couleurs après que la Chine ait fait savoir à l'aube que ses exportations avaient grimpé de 5,1% d'une année sur l'autre en juin, dissipant le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Elle a aussi souligné que les importations bondissaient de 10,9% dans le même temps, laissant espérer un renforcement de la consommation nationale.
La nouvelle a du coup éclipsé le fait que l'économie du pays avait subi 10.200 destructions de postes le mois passé, au lieu des 5.000 déjà redoutés, bien que le taux de chômage se soit maintenu à 5,7%.
Les autorités du Canada ont de leur côté constaté une hausse de 0,2% de son indice des prix des logements, au lieu des 0,3% pressentis.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,17% pour se situer à 81,15.