Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents lors des échanges peu nombreux de ce lundi, alors que régnait la crainte que l'économie américaine n'ait besoin d'être stimulée par la Réserve Fédérale.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.16% pour grimper à 1.4417.
La monnaie unique a toutefois eu du mal à conserver des partisans après qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, ait rappelé en début de journée son opposition à la mise en place d'obligations européennes pour permettre aux pays surendettés d'emprunter.
Il a cependant fait subir sa pression au yen et au franc suisse, l'USD/JPY s'élevant de 0.28% pour se retrouver à 76.76 et l'USD/CHF arrachant 0.18% pour monter à 0.7867.
Yoshihiko Noda, ministre des finances, avait adressé ce matin des avertissements encore plus sévères contre la spéculation sur la monnaie de l'archipel, déclarant: "Nous n'exclurons aucune mesure possible, intervenant de manière radicale quand cela sera nécessaire."
L'hebdomadaire helvétique SonntagsZeitung a pour sa part rapporté que le gouvernement du pays souhaitait que la Banque Nationale Suisse établisse un objectif de taux de change de l'euro avec sa devise d'au moins 1.2, sans pour autant révéler la source de l'information.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.23% pour se hisser à 1.6504.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.52% pour aller vers 0.9854, l'AUD/USD raflant 0.51% pour monter à 1.0457 et le NZD/USD engrangeant 0.96% pour culminer à 0.8259.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.1% pour se situer à 73.97.
Les Etats-Unis devraient publier aujourd'hui un rapport sur les défauts de paiement hypothécaires.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.16% pour grimper à 1.4417.
La monnaie unique a toutefois eu du mal à conserver des partisans après qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, ait rappelé en début de journée son opposition à la mise en place d'obligations européennes pour permettre aux pays surendettés d'emprunter.
Il a cependant fait subir sa pression au yen et au franc suisse, l'USD/JPY s'élevant de 0.28% pour se retrouver à 76.76 et l'USD/CHF arrachant 0.18% pour monter à 0.7867.
Yoshihiko Noda, ministre des finances, avait adressé ce matin des avertissements encore plus sévères contre la spéculation sur la monnaie de l'archipel, déclarant: "Nous n'exclurons aucune mesure possible, intervenant de manière radicale quand cela sera nécessaire."
L'hebdomadaire helvétique SonntagsZeitung a pour sa part rapporté que le gouvernement du pays souhaitait que la Banque Nationale Suisse établisse un objectif de taux de change de l'euro avec sa devise d'au moins 1.2, sans pour autant révéler la source de l'information.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.23% pour se hisser à 1.6504.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.52% pour aller vers 0.9854, l'AUD/USD raflant 0.51% pour monter à 1.0457 et le NZD/USD engrangeant 0.96% pour culminer à 0.8259.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.1% pour se situer à 73.97.
Les Etats-Unis devraient publier aujourd'hui un rapport sur les défauts de paiement hypothécaires.