Investing.com - L'euro a légèrement reculé face au dollar U.S. ce lundi, l'engagement pris à la suite de la réunion de fin de semaine du groupe des 8 pays les plus développés d'aider la Grèce à se maintenir dans la zone euro n'ayant pas réussi à lui apporter un soutien significatif.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.2813 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 15 mai, puis s'est stabilisée vers 1.2767, trébuchant de 0.09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2641, son plancher de quatre mois datant de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.2868, son plafond du 15 mai.
Les chefs du G8 n'ont en effet pas réussi a trouver d'accord sur la manière de diminuer l'instabilité des marchés découlant de la crise de la dette de la zone euro, mais ils se sont toutefois mis d'accord sur leur désir de garder la nation hellène au sein du bloc euro et se sont engagés à prendre des mesures pour stimuler leurs économies.
La monnaie unique a également retrouvé du soutien après qu'il ait été rapporté que le parti de la Nouvelle Démocratie, favorable au plan de sauvetage, était en tête des sondages pour les nouvelles élections devant se dérouler le 17 juin.
Mais les observateurs demeuraient échaudés par la possibilité persistante que la Grèce puisse quitter la zone où elle a cours, et par les craintes concernant le secteur bancaire espagnol.
Elle a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP laissant échapper 0.08% pour glisser à 0.8072, mais a pris le dessus sur le yen, l'EUR/JPY s'élevant de 0.16% pour grimper à 101.14.
Jose Manuel Barroso, président de la commission européenne, a quand à lui rappelé dimanche que les prochaines élections grecques seraient déterminantes pour le futur du pays.
Il a en effet déclaré au Wall Street Journal qu'il était important que la Grèce honore les engagements pris dans le cadre du programme de secours afin de maintenir la crédibilité et la stabilité du bloc euro.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.2813 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 15 mai, puis s'est stabilisée vers 1.2767, trébuchant de 0.09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2641, son plancher de quatre mois datant de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.2868, son plafond du 15 mai.
Les chefs du G8 n'ont en effet pas réussi a trouver d'accord sur la manière de diminuer l'instabilité des marchés découlant de la crise de la dette de la zone euro, mais ils se sont toutefois mis d'accord sur leur désir de garder la nation hellène au sein du bloc euro et se sont engagés à prendre des mesures pour stimuler leurs économies.
La monnaie unique a également retrouvé du soutien après qu'il ait été rapporté que le parti de la Nouvelle Démocratie, favorable au plan de sauvetage, était en tête des sondages pour les nouvelles élections devant se dérouler le 17 juin.
Mais les observateurs demeuraient échaudés par la possibilité persistante que la Grèce puisse quitter la zone où elle a cours, et par les craintes concernant le secteur bancaire espagnol.
Elle a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP laissant échapper 0.08% pour glisser à 0.8072, mais a pris le dessus sur le yen, l'EUR/JPY s'élevant de 0.16% pour grimper à 101.14.
Jose Manuel Barroso, président de la commission européenne, a quand à lui rappelé dimanche que les prochaines élections grecques seraient déterminantes pour le futur du pays.
Il a en effet déclaré au Wall Street Journal qu'il était important que la Grèce honore les engagements pris dans le cadre du programme de secours afin de maintenir la crédibilité et la stabilité du bloc euro.