Investing.com - La livre sterling a cédé du terrain au dollar U.S. ce vendredi matin, malgré des performances relativement positives, ce dernier profitant toujours du flou entourant les orientations futures de son émettrice.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5234 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5237, perdant 0,14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5196, son plancher du 3 juin, et de rencontrer de la résistance à 1,5347, son plafond d'hier.
L'indice de la confiance des particuliers du Royaume-Uni établi par le groupe de recherches économiques Gfk a en effet comme prévu frémi depuis -22 jusqu'à -21 pour juin.
Une étude différente mettait pour sa part en relief une inflation des coûts des logements britanniques se montant à 0,3% dans le même temps après les 0,4% précédents.
Le bureau des statistiques nationales avait auparavant été révélé que l'économie avait connu en mars une expansion de 0,3% d'une année sur l'autre, au lieu des 0,6% préalablement évalués.
Les performances peu reluisantes divulguées hier par les Etats-Unis ont quand à elles contribué à accentuer le flou au sujet des injections de capitaux de la Réserve Fédérale.
Le département d'état au travail américain a ainsi dénombré 9.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 22 juin, pour un total hebdomadaire de 346.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 10.000 pour les amener à 345.000 était espérée.
Il était aussi souligné dans un autre rapport que les dépenses des particuliers avaient comme prévu frémi de 0,3% en mai.
La livre sterling a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,27% pour se hisser à 0,8567.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago et l'indice révisé du moral des ménages établi par l'université du Michigan.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5234 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5237, perdant 0,14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5196, son plancher du 3 juin, et de rencontrer de la résistance à 1,5347, son plafond d'hier.
L'indice de la confiance des particuliers du Royaume-Uni établi par le groupe de recherches économiques Gfk a en effet comme prévu frémi depuis -22 jusqu'à -21 pour juin.
Une étude différente mettait pour sa part en relief une inflation des coûts des logements britanniques se montant à 0,3% dans le même temps après les 0,4% précédents.
Le bureau des statistiques nationales avait auparavant été révélé que l'économie avait connu en mars une expansion de 0,3% d'une année sur l'autre, au lieu des 0,6% préalablement évalués.
Les performances peu reluisantes divulguées hier par les Etats-Unis ont quand à elles contribué à accentuer le flou au sujet des injections de capitaux de la Réserve Fédérale.
Le département d'état au travail américain a ainsi dénombré 9.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 22 juin, pour un total hebdomadaire de 346.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 10.000 pour les amener à 345.000 était espérée.
Il était aussi souligné dans un autre rapport que les dépenses des particuliers avaient comme prévu frémi de 0,3% en mai.
La livre sterling a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,27% pour se hisser à 0,8567.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago et l'indice révisé du moral des ménages établi par l'université du Michigan.