Investing.com - L'euro était en berne face à tous ses principaux concurrents ce mercredi après-midi, les résultats peu glorieux de la part du bloc où il a cours ranimant le spectre d'une croissance régionale fugace.
En début de seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le dollar U.S. jusqu'à une ornière de plus d'un mois, l'EUR/USD chutant de 0.4% pour se retrouver à 1.2933.
Il avait en effet perdu pied après qu'il ait été signalé que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la zone euro avait reculé depuis une valeur définitive de 46.1 pour arriver à 45.3 en octobre, alors qu'un frémissement à 46.6 était espéré.
Il était aussi à noter que celui du domaine des services avait grignoté pour se hisser de 46.1 à 46.2 sur une période identique.
Celui des industries de l'Allemagne a quand à lui régressé de 47.4 jusqu'à 45.7 pour octobre, au lieu de remonter à 48 comme envisagé.
L'institut germanique Ifo pour la recherche économique a pour sa part révélé que son baromètre des affaires nationales était tombé dans le même temps de 101.4 à 100, son niveau le plus bas depuis mars 2010.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP plongeant de 0.77% pour sombrer à 0.8078, sa valeur la plus faible en plus d'une semaine.
Son adversaire avait retrouvé du mordant après que Mervyn King, gouverneur de la Banque d'Angleterre, ait déclaré que ses collègues et lui devraient réfléchir "longuement et intensément" avant de décider de mettre ou non en place davantage d'accomodements.
Le yen et le franc suisse ont également exercé leur pression, l'EUR/JPY perdant 0.5% pour tomber à 103.17 et l'EUR/CHF trébuchant de 0.09% pour glisser à 1.é096.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise l'ont aussi dominée, l'EUR/AUD fondant de 0.92% pour s'écrouler à 1.2533, l'EUR/CAD dérapant de 0.48% pour reprendre pied à 1.2826 et l'EUR/NZD cédant 0.63% pour toucher le fond à 1.5894.
La première et la dernière avaient repris des couleurs après qu'un rapport ait mis en évidence le fait que l'indice HSBC des directeurs des achats manufacturiers de la Chine, premier signe de son activité industrielle, était remonté de 47.9 ajustés vers 49.1 pour octobre.
Des chiffres officiels venus d'Australie soulignaient aussi que les prix à la consommation du pays avaient gonflé de 0.7% au troisième trimestre, dépassant de peu les 0.6% escomptés.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devait participer à une rencontre avec les dirigeants de la Bundesbank allemande, suivie d'une conférence de presse.
La Réserve Fédérale comptait de son côté faire connaître en fin de journée son taux d'intérêt directeur et dévoiler son texte explicatif sur la question pour la première fois depuis l'annonce le mois dernier de nouvelles injections de liquidités, tandis que les Etats-Unis concluront avec les chiffres des ventes de logements neufs.
En début de seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le dollar U.S. jusqu'à une ornière de plus d'un mois, l'EUR/USD chutant de 0.4% pour se retrouver à 1.2933.
Il avait en effet perdu pied après qu'il ait été signalé que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la zone euro avait reculé depuis une valeur définitive de 46.1 pour arriver à 45.3 en octobre, alors qu'un frémissement à 46.6 était espéré.
Il était aussi à noter que celui du domaine des services avait grignoté pour se hisser de 46.1 à 46.2 sur une période identique.
Celui des industries de l'Allemagne a quand à lui régressé de 47.4 jusqu'à 45.7 pour octobre, au lieu de remonter à 48 comme envisagé.
L'institut germanique Ifo pour la recherche économique a pour sa part révélé que son baromètre des affaires nationales était tombé dans le même temps de 101.4 à 100, son niveau le plus bas depuis mars 2010.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP plongeant de 0.77% pour sombrer à 0.8078, sa valeur la plus faible en plus d'une semaine.
Son adversaire avait retrouvé du mordant après que Mervyn King, gouverneur de la Banque d'Angleterre, ait déclaré que ses collègues et lui devraient réfléchir "longuement et intensément" avant de décider de mettre ou non en place davantage d'accomodements.
Le yen et le franc suisse ont également exercé leur pression, l'EUR/JPY perdant 0.5% pour tomber à 103.17 et l'EUR/CHF trébuchant de 0.09% pour glisser à 1.é096.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise l'ont aussi dominée, l'EUR/AUD fondant de 0.92% pour s'écrouler à 1.2533, l'EUR/CAD dérapant de 0.48% pour reprendre pied à 1.2826 et l'EUR/NZD cédant 0.63% pour toucher le fond à 1.5894.
La première et la dernière avaient repris des couleurs après qu'un rapport ait mis en évidence le fait que l'indice HSBC des directeurs des achats manufacturiers de la Chine, premier signe de son activité industrielle, était remonté de 47.9 ajustés vers 49.1 pour octobre.
Des chiffres officiels venus d'Australie soulignaient aussi que les prix à la consommation du pays avaient gonflé de 0.7% au troisième trimestre, dépassant de peu les 0.6% escomptés.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devait participer à une rencontre avec les dirigeants de la Bundesbank allemande, suivie d'une conférence de presse.
La Réserve Fédérale comptait de son côté faire connaître en fin de journée son taux d'intérêt directeur et dévoiler son texte explicatif sur la question pour la première fois depuis l'annonce le mois dernier de nouvelles injections de liquidités, tandis que les Etats-Unis concluront avec les chiffres des ventes de logements neufs.