Investing.com - La monnaie unique était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi, restant sous pression après des enchères espagnoles coûteuses, l'angoisse d'une dégradation imminente de l'appréciation des dettes des Etats-Unis ayant cependant été apaisée.
En première partie de séance européenne, le dollar U.S. a fléchi devant elle, l'EUR/USD gagnant 0.42% pour grimper à 1.3545.
L'Espagne a en effet écoulé pour 2.98 milliards d'euros en bons du trésor à trois et six mois, ces derniers grimpant jusqu'à 5.2%, contre 3.3% lors d'une vente similaire s'étant déroulée en octobre.
Il s'agissait de la première depuis la victoire écrasante du parti conservateur aux élections de dimanche, mais les investisseurs demeuraient nerveux en raison du fou sur la méthode qu'il compte employer pour réduire les déficits et regagner la confiance des observateurs.
Le premier ministre grec Evangelos Venizelos a quand à lui déclaré que les représentants de la zone euro prendraient une décision concernant l'éventuelle attribution de la prochaine tranche d'aides financières à la Grèce dès le 29 novembre.
L'atmosphère s'était trouvée éclaircie après que l'agence de notation Fitch ait fait savoir que l'impasse des négociations du comité parlementaire visant à reboucher quelque peu le gouffre budgétaire américain placerait probablement la notation monétaire du pays sous une perspective négative de sa part, au lieu de la dégrader.
La livre sterling a également cédé du terrain à la devise européenne, l'EUR/GBP prenant 0.31% pour se hisser à 0.8651.
Des informations officielles avaient auparavant monré que les eprunts du secteur public britannique avaient davantage diminué en octobre que prévu, passant ainsi de 10.2 à 3.4 milliards de GBP en l'espace d'un mois.
Le yen a d'autre part subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'EUR/JPY grignotant 0.38% pour se retrouver à 104.09 et l'EUR/CHF glissant de 0.15% pour tomber à 1.2353.
Une étude gouvernementale avait d'autre part signalé que l'excédent du commerce extérieur suisse avait davantage augmenté le mois dernier que prévu, et ce bien que le renforcement du swissy ait freiné la croissance des exportations.
Elle a par ailleurs dominé ses homologues canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD progressant de 0.18% pour aller vers 1.4055, l'EUR/AUD raflant 0.1% pour monter à 1.3721 et l'EUR/NZD engrangeant 0.22% pour culminer à 1.8096.
Les Etats-Unis devraient pour leur part dévoiler aujourd'hui l'évaluation préliminaire de leur produit intérieur brut, tandis que la Réserve Fédérale publiera le compte-rendu détaillé de sa réunion d'orientation politique de novembre.
En première partie de séance européenne, le dollar U.S. a fléchi devant elle, l'EUR/USD gagnant 0.42% pour grimper à 1.3545.
L'Espagne a en effet écoulé pour 2.98 milliards d'euros en bons du trésor à trois et six mois, ces derniers grimpant jusqu'à 5.2%, contre 3.3% lors d'une vente similaire s'étant déroulée en octobre.
Il s'agissait de la première depuis la victoire écrasante du parti conservateur aux élections de dimanche, mais les investisseurs demeuraient nerveux en raison du fou sur la méthode qu'il compte employer pour réduire les déficits et regagner la confiance des observateurs.
Le premier ministre grec Evangelos Venizelos a quand à lui déclaré que les représentants de la zone euro prendraient une décision concernant l'éventuelle attribution de la prochaine tranche d'aides financières à la Grèce dès le 29 novembre.
L'atmosphère s'était trouvée éclaircie après que l'agence de notation Fitch ait fait savoir que l'impasse des négociations du comité parlementaire visant à reboucher quelque peu le gouffre budgétaire américain placerait probablement la notation monétaire du pays sous une perspective négative de sa part, au lieu de la dégrader.
La livre sterling a également cédé du terrain à la devise européenne, l'EUR/GBP prenant 0.31% pour se hisser à 0.8651.
Des informations officielles avaient auparavant monré que les eprunts du secteur public britannique avaient davantage diminué en octobre que prévu, passant ainsi de 10.2 à 3.4 milliards de GBP en l'espace d'un mois.
Le yen a d'autre part subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'EUR/JPY grignotant 0.38% pour se retrouver à 104.09 et l'EUR/CHF glissant de 0.15% pour tomber à 1.2353.
Une étude gouvernementale avait d'autre part signalé que l'excédent du commerce extérieur suisse avait davantage augmenté le mois dernier que prévu, et ce bien que le renforcement du swissy ait freiné la croissance des exportations.
Elle a par ailleurs dominé ses homologues canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD progressant de 0.18% pour aller vers 1.4055, l'EUR/AUD raflant 0.1% pour monter à 1.3721 et l'EUR/NZD engrangeant 0.22% pour culminer à 1.8096.
Les Etats-Unis devraient pour leur part dévoiler aujourd'hui l'évaluation préliminaire de leur produit intérieur brut, tandis que la Réserve Fédérale publiera le compte-rendu détaillé de sa réunion d'orientation politique de novembre.