Investing.com - Le dollar U.S. était en ascension face à presque tous ses concurrents ce lundi, alors que les observateurs guettaient la réuniion entre les dirigeants de France et d'Allemagne, tout en demeurant limitée par les craintes liées au problème du surendettement européen.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. a fléchi devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.27% pour grimper à 1.2752.
Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français devaient se rencontrer dans la journée afin d'élaborer des propositions visant à améliorer la coordination fiscale régionale.
La monnaie unique s'est trouvée ragaillardie après qu'une étude ait montré que les exportations allemandes avaient engrangé 2.5% en novembre, augmentant sans prévenir l'excédent du commerce extérieur national, et apaisant l'angoisse d'un ralentissement de la plus grosse économie de la région.
Son avancée s'est toutefois trouvée limitée par l'angoisse de la capacité des pays d'Europe à trouver des financements, dans l'expectative des ventes aux enchères de dettes espagnoles et italiennes devant avoir lieu en cours de semaine.
Les taux des obligations décennales italiennes s'est pour sa part propulsé vers 7.11%, dépassant ainsi le seuil des 7% au-dessus duquel la situation est généralement considérée comme intenable, tandis que celles de l'Espagne se situaient à 5.74%.
La devise européenne a également fait céder quelques pouces de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.18% pour se hisser à 0.826.
Elle a d'autre part subi la résistance de la valeur sûre du yen, l'EUR/JPY grignotant 0.03% pour se retrouver à 97.9, après s'être pourtant effondré en début de session jusqu'à 97.26, son ornière des onze années écoulées.
Il en a été de même avec le franc suisse, l'EUR/CHF arrachant 0.02% pour s'élever à 1.2151.
Des chiffres officiels avaient montré ce matin que les ventes au détail suisses avaient augmenté en novembre de manière nettement supérieure aux attentes, bondissant de 1.8% après n'avoir arraché que 0.1% le mois précédent.
Elle a par ailleurs dominé son homologue australienne, mais est demeurée à un jet de pierre de son plancher historique à 1.2419 établi vendredi, l'EUR/AUD gagnant 0.38 pour monter à 1.2483.
Les autorités de l'Australie avaient révélé en début de matinée que les ventes auprès des consommateurs de novembre étaient demeurées identiques à celles d'octobre, mois qui les avait vues se renforcer de 0.2%, alors que les analystes caressaient l'espoir qu'elles raflent 0.4%.
Aucune tendance claire ne s'était dégagée avec ses cousines canadienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD raflant 0.33% pour aller vers 1.3124, et l'EUR/NZD laissant échapper 0.23% pour toucher le fond à 1.6257.
Le gouvernement de Nouvelle-Zélande a révélé ce matin que le déficit du commerce extérieur du pays avait dépassé les craintes pour le même mois.
Il avait aussi été signalé que la confiance des investisseurs dans le bloc ayant adopté la monnaie unique avait davantage progressé pour janvier qu'espéré, bien que demeurant en territoire négatif pour le sixième mois d'affilée.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. a fléchi devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.27% pour grimper à 1.2752.
Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français devaient se rencontrer dans la journée afin d'élaborer des propositions visant à améliorer la coordination fiscale régionale.
La monnaie unique s'est trouvée ragaillardie après qu'une étude ait montré que les exportations allemandes avaient engrangé 2.5% en novembre, augmentant sans prévenir l'excédent du commerce extérieur national, et apaisant l'angoisse d'un ralentissement de la plus grosse économie de la région.
Son avancée s'est toutefois trouvée limitée par l'angoisse de la capacité des pays d'Europe à trouver des financements, dans l'expectative des ventes aux enchères de dettes espagnoles et italiennes devant avoir lieu en cours de semaine.
Les taux des obligations décennales italiennes s'est pour sa part propulsé vers 7.11%, dépassant ainsi le seuil des 7% au-dessus duquel la situation est généralement considérée comme intenable, tandis que celles de l'Espagne se situaient à 5.74%.
La devise européenne a également fait céder quelques pouces de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.18% pour se hisser à 0.826.
Elle a d'autre part subi la résistance de la valeur sûre du yen, l'EUR/JPY grignotant 0.03% pour se retrouver à 97.9, après s'être pourtant effondré en début de session jusqu'à 97.26, son ornière des onze années écoulées.
Il en a été de même avec le franc suisse, l'EUR/CHF arrachant 0.02% pour s'élever à 1.2151.
Des chiffres officiels avaient montré ce matin que les ventes au détail suisses avaient augmenté en novembre de manière nettement supérieure aux attentes, bondissant de 1.8% après n'avoir arraché que 0.1% le mois précédent.
Elle a par ailleurs dominé son homologue australienne, mais est demeurée à un jet de pierre de son plancher historique à 1.2419 établi vendredi, l'EUR/AUD gagnant 0.38 pour monter à 1.2483.
Les autorités de l'Australie avaient révélé en début de matinée que les ventes auprès des consommateurs de novembre étaient demeurées identiques à celles d'octobre, mois qui les avait vues se renforcer de 0.2%, alors que les analystes caressaient l'espoir qu'elles raflent 0.4%.
Aucune tendance claire ne s'était dégagée avec ses cousines canadienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD raflant 0.33% pour aller vers 1.3124, et l'EUR/NZD laissant échapper 0.23% pour toucher le fond à 1.6257.
Le gouvernement de Nouvelle-Zélande a révélé ce matin que le déficit du commerce extérieur du pays avait dépassé les craintes pour le même mois.
Il avait aussi été signalé que la confiance des investisseurs dans le bloc ayant adopté la monnaie unique avait davantage progressé pour janvier qu'espéré, bien que demeurant en territoire négatif pour le sixième mois d'affilée.