Investing.com - L'euro s'est retrouvé circonscrit dans une bande étroite face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, la prudence restant de mise dans l'expectative de détails concernant le plan de jugulation du problème du surendettement de la part de la Banque Centrale Européenne et du discours de vendredi de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis.
En fin de première partie de séance européenne, il s'est maintenu aux abords d'un pic de sept semaines contre le dollar U.S. avec un couple EUR/USD trébuchant de 0.08% pour descendre à 1.2555.
La monnaie unique gardait la tête haute ces dernières semaines en raison de l'espoir grandissant que la BCE soit en train d'élaborer des mesures destinées à stabiliser les marchés obligataires européens à l'approche de sa réunion du 6 septembre.
L'Italie avait pour sa part vu ce matin le coût de ses emprunts diminuer jusqu'à son plus bas niveau depuis mars lors d'une adjudication de bons du trésor à six mois, dont l'attractivité s'est avérée bonne.
Les propos que M. Bernanke, son homologue de la Fed, tiendra en fin de semaine lors du symposium annuel à Jackson Hole, dans le Wyoming, étaient guettés avec impatience, sur fond de bruits concernant sa propension à procéder à des encouragements supplémentaires.
La livre sterling n'a guère pu la faire fléchir de son sommet des trois semaines écoulées, l'EUR/GBP ne cédant que 0.07% pour glisser à 0.7936.
La devise du Royaume-Uni restait cependant sur la sellette, le net affaiblissement économique national ayant replacé l'hypothèse d'accomodements provenant de la Banque d'Angleterre sur le devant de la scène.
Le yen a d'autre part subi sa pression pour laisser l'unité monétaire européenne se rapprocher de son meilleur niveau en six semaines, l'EUR/JPY grignotant 0.01% pour se hisser à 98.64, mais le franc suisse a rencontré une forte résistance, l'EUR/CHF ne reculant que de 0.01% pour se replacer à 1.2009.
Mais ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise ont été dominées, l'EUR/AUD avançant de 0.06% vers 1.2116, l'EUR/CAD sapant 0.01% pour s'élever à 1.2418 et l'EUR/NZD gagnant 0.2% pour culminer à 1.5644.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer dans l'après-midi l'état de leur produit intérieur brut révisé du second trimestre, tandis que le volume des ventes de logements en cours sera révélé par les principaux acteurs de l'immobilier.
En fin de première partie de séance européenne, il s'est maintenu aux abords d'un pic de sept semaines contre le dollar U.S. avec un couple EUR/USD trébuchant de 0.08% pour descendre à 1.2555.
La monnaie unique gardait la tête haute ces dernières semaines en raison de l'espoir grandissant que la BCE soit en train d'élaborer des mesures destinées à stabiliser les marchés obligataires européens à l'approche de sa réunion du 6 septembre.
L'Italie avait pour sa part vu ce matin le coût de ses emprunts diminuer jusqu'à son plus bas niveau depuis mars lors d'une adjudication de bons du trésor à six mois, dont l'attractivité s'est avérée bonne.
Les propos que M. Bernanke, son homologue de la Fed, tiendra en fin de semaine lors du symposium annuel à Jackson Hole, dans le Wyoming, étaient guettés avec impatience, sur fond de bruits concernant sa propension à procéder à des encouragements supplémentaires.
La livre sterling n'a guère pu la faire fléchir de son sommet des trois semaines écoulées, l'EUR/GBP ne cédant que 0.07% pour glisser à 0.7936.
La devise du Royaume-Uni restait cependant sur la sellette, le net affaiblissement économique national ayant replacé l'hypothèse d'accomodements provenant de la Banque d'Angleterre sur le devant de la scène.
Le yen a d'autre part subi sa pression pour laisser l'unité monétaire européenne se rapprocher de son meilleur niveau en six semaines, l'EUR/JPY grignotant 0.01% pour se hisser à 98.64, mais le franc suisse a rencontré une forte résistance, l'EUR/CHF ne reculant que de 0.01% pour se replacer à 1.2009.
Mais ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise ont été dominées, l'EUR/AUD avançant de 0.06% vers 1.2116, l'EUR/CAD sapant 0.01% pour s'élever à 1.2418 et l'EUR/NZD gagnant 0.2% pour culminer à 1.5644.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer dans l'après-midi l'état de leur produit intérieur brut révisé du second trimestre, tandis que le volume des ventes de logements en cours sera révélé par les principaux acteurs de l'immobilier.