Investing.com - L'euro était largement en berne face à la plupart de ses concurrents lors des transactions éparses de ce mercredi après-midi, l'ambiance étant plombée par les inquiétudes causées par les difficultés financières espagnoles.
En début de seconde partie de séance européenne, il a ainsi fléchi devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.24% pour chuter à 1.3017.
La monnaie unique restait en effet encore sur la sellette après qu'il ait été rapporté que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy demeurait incertain quand au recours éventuel à la main tendue par la Banque Centrale Européenne, qui impliquerait de s'inscrire au fonds de secours permanent.
Son adjoint a ajouté hier que les autorités étudiaient les conditions dans lesquelles un plan de sauvetage pourrait se dérouler.
La circonspection se trouvait exacerbée par le taux des obligations décennales du pays, qui frôlait les 5.89%, et demeurait proche de la barre des 7%, généralement estimés intenables sur le long terme.
Il en était de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP cédant 0.1% pour descendre à 0.8024.
Le compte-rendu de la réunion de septembre de la Banque d'Angleterre avait aupparavant montré que les membres de son conseil directeur voté en début de mois tous les neuf pour le maintien d'un taux de base de 0.5% et d'un volume d'acquisitions d'actifs de 375 milliards de GBP.
Le yen et le franc suisse ont également exercé leur pression, l'EUR/JPY laissant échapper 0.09% pour glisser à 102.74 et l'EUR/CHF dérapant de 0.26% pour tomber à 1.2085.
La banque centrale nippone avait pour sa part annoncé en début de matinée l'augmentation du montant de ses rachats mensuels de dettes, gonflant de 10 billions de JPY pour en totaliser 80, son taux d'intérêt directeur restant confiné dans une fourchette comprise entre 0 et 0.1%.
Le centre de recherches économiques ZEW a quand à lui révélé à la mi-journée que son baromètre du moral économique de la confédération avait plongé sans prévenir de -33.3 vers -34.9 pour août.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise l'ont aussi dominée, l'EUR/AUD se rétractant de 0.08% vers 1.2468, l'EUR/CAD fondant de 0.29% pour reprendre pied à 1.2675, et l'EUR/NZD reculant de 0.17% pour toucher le fond à 1.5745.
Des chiffres officiels avaient signalé ce matin que le déficit du compte courant de la Nouvelle-Zélande s'était davantage creusé au second trimestre qu'il n'avait été redouté, passant ainsi de 1.07 à 1.8 milliards de NZD.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils ont accordés, ainsi que celui des constructions entamées, sans oublir l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières, ainsi qu'un rapport des spécialistes de l'immobilier concernant les ventes de logements d'occasion.
En début de seconde partie de séance européenne, il a ainsi fléchi devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.24% pour chuter à 1.3017.
La monnaie unique restait en effet encore sur la sellette après qu'il ait été rapporté que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy demeurait incertain quand au recours éventuel à la main tendue par la Banque Centrale Européenne, qui impliquerait de s'inscrire au fonds de secours permanent.
Son adjoint a ajouté hier que les autorités étudiaient les conditions dans lesquelles un plan de sauvetage pourrait se dérouler.
La circonspection se trouvait exacerbée par le taux des obligations décennales du pays, qui frôlait les 5.89%, et demeurait proche de la barre des 7%, généralement estimés intenables sur le long terme.
Il en était de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP cédant 0.1% pour descendre à 0.8024.
Le compte-rendu de la réunion de septembre de la Banque d'Angleterre avait aupparavant montré que les membres de son conseil directeur voté en début de mois tous les neuf pour le maintien d'un taux de base de 0.5% et d'un volume d'acquisitions d'actifs de 375 milliards de GBP.
Le yen et le franc suisse ont également exercé leur pression, l'EUR/JPY laissant échapper 0.09% pour glisser à 102.74 et l'EUR/CHF dérapant de 0.26% pour tomber à 1.2085.
La banque centrale nippone avait pour sa part annoncé en début de matinée l'augmentation du montant de ses rachats mensuels de dettes, gonflant de 10 billions de JPY pour en totaliser 80, son taux d'intérêt directeur restant confiné dans une fourchette comprise entre 0 et 0.1%.
Le centre de recherches économiques ZEW a quand à lui révélé à la mi-journée que son baromètre du moral économique de la confédération avait plongé sans prévenir de -33.3 vers -34.9 pour août.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise l'ont aussi dominée, l'EUR/AUD se rétractant de 0.08% vers 1.2468, l'EUR/CAD fondant de 0.29% pour reprendre pied à 1.2675, et l'EUR/NZD reculant de 0.17% pour toucher le fond à 1.5745.
Des chiffres officiels avaient signalé ce matin que le déficit du compte courant de la Nouvelle-Zélande s'était davantage creusé au second trimestre qu'il n'avait été redouté, passant ainsi de 1.07 à 1.8 milliards de NZD.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils ont accordés, ainsi que celui des constructions entamées, sans oublir l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières, ainsi qu'un rapport des spécialistes de l'immobilier concernant les ventes de logements d'occasion.