Investing.com - L'euro était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, retrouvant du poil de la bête après que l'Italie ait vu les coûts de ses emprunts plonger suite à une mise aux enchères de ses dettes.
Mais cette avancée demeurait jugulée par les craintes concernant la gestion de la crise de la dette souveraine régionale.
En fin de première partie de séance européenne, il fléchissait devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.21% por tomber à 1.2215.
La monnaie unique a en effet retrouvé quelques couleurs après que Rome ait écoulé le total des 7.5 milliards d'euros de bons du trésor à 12 mois envisagé, à un taux moyen de 2.697%, le plus faible des deux derniers mois, à comparer aux 3.972% de juin.
Il a également été signalé que la production industrielle de la zone euro avait augmenté en mai pour la première fois en trois mois, progressant de 0.6% alors que les experts craignaient de la voir perdre 0.1%.
Mais la popularité de la devise européenne restait fragilisée après que le bulletin mensuel de la Banque Centrale Européenne ait confirmé que les risques baissiers s'étaient traduits dans les faits, et que la croissance régionale demeurerait faible.
La nervosité était toujours de mise, après que Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, ait annoncé hier 65 milliards d'euros de coupes budgétaires, dans l'espoir de remplir les objectifs de réduction des déficits approuvés par ses partenaires régionaux.
Les analystes ont toutefois averti que celles-ci avaient de grandes chances de plonger l'économie du pays dans une récession encore plus profonde.
La résistance contre la livre sterling a toutefois été meilleure, l'EUR/GBP grignotant 0.03% pour se hisser à 0.7898.
Cette dernière avait été remplumée par la descente des taux des obligations décennales britanniques vers leur plus bas niveau historique, les investisseurs se précipitant vers les valeurs sûres pour conjurer l'angoisse concernant perspectives économiques.
Le yen a toutefois exercé une forte pression, mais le franc suisse s'est contenté de lui résister, l'EUR/JPY fondant de 0.76% pour dégringoler à 97.89 et l'EUR/CHF se maintenant à 1.201.
Le premier s'est trouvé encouragé après que la Banque du Japon n'ait pas non plus procédé à de nouveaux accomodements, ayant toutefois légèrement modifié ses programmes d'achats d'actifs et de prêts après deux jours de réflexion.
Ses homologues australienne, canadienen et néo-zélandais ont toutefois été dominées, l'EUR/AUD engrangeant 0.9% pour grimper à 1.2048, l'EUR/CAD arrachant 0.01% pour frémir à 1.2491 et l'EUR/NZD raflant 0.89% pour s'envoler à 1.5499.
La devise de l'Australie s'est retrouvée sur la sellette après que des chiffres officiels aient montré que le pays avait connu 27 000 destructions d'emplois le mois dernier, alors que 200 créations étaient espérées, après les 27 800 ayant eu lieu en mai.
Le taux de chômage national est quand à lui passé comme redouté de 5.1 vers 5.2% dans le même temps.
La zone euro devait dévoiler dans l'après-midi les performances de sa production industrielle, et le gouvernement des Etats-Unis aire de même avec le nombre des nouveaux inscrits au chômage et l'évolution des prix à l'importation.
Les opérateurs surveilleront le produit intérieur brut chinois pour le second trimestre, devant être révélé demain, afin de savoir si la poussée expansionniste du pays va atterrir en douceur ou en catastrophe.
Une perte de vitesse aggravée de sa part pourrait mettre à mal une expansion économique générale déjà mise à mal par le problème du surendettement européen.
Mais cette avancée demeurait jugulée par les craintes concernant la gestion de la crise de la dette souveraine régionale.
En fin de première partie de séance européenne, il fléchissait devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.21% por tomber à 1.2215.
La monnaie unique a en effet retrouvé quelques couleurs après que Rome ait écoulé le total des 7.5 milliards d'euros de bons du trésor à 12 mois envisagé, à un taux moyen de 2.697%, le plus faible des deux derniers mois, à comparer aux 3.972% de juin.
Il a également été signalé que la production industrielle de la zone euro avait augmenté en mai pour la première fois en trois mois, progressant de 0.6% alors que les experts craignaient de la voir perdre 0.1%.
Mais la popularité de la devise européenne restait fragilisée après que le bulletin mensuel de la Banque Centrale Européenne ait confirmé que les risques baissiers s'étaient traduits dans les faits, et que la croissance régionale demeurerait faible.
La nervosité était toujours de mise, après que Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, ait annoncé hier 65 milliards d'euros de coupes budgétaires, dans l'espoir de remplir les objectifs de réduction des déficits approuvés par ses partenaires régionaux.
Les analystes ont toutefois averti que celles-ci avaient de grandes chances de plonger l'économie du pays dans une récession encore plus profonde.
La résistance contre la livre sterling a toutefois été meilleure, l'EUR/GBP grignotant 0.03% pour se hisser à 0.7898.
Cette dernière avait été remplumée par la descente des taux des obligations décennales britanniques vers leur plus bas niveau historique, les investisseurs se précipitant vers les valeurs sûres pour conjurer l'angoisse concernant perspectives économiques.
Le yen a toutefois exercé une forte pression, mais le franc suisse s'est contenté de lui résister, l'EUR/JPY fondant de 0.76% pour dégringoler à 97.89 et l'EUR/CHF se maintenant à 1.201.
Le premier s'est trouvé encouragé après que la Banque du Japon n'ait pas non plus procédé à de nouveaux accomodements, ayant toutefois légèrement modifié ses programmes d'achats d'actifs et de prêts après deux jours de réflexion.
Ses homologues australienne, canadienen et néo-zélandais ont toutefois été dominées, l'EUR/AUD engrangeant 0.9% pour grimper à 1.2048, l'EUR/CAD arrachant 0.01% pour frémir à 1.2491 et l'EUR/NZD raflant 0.89% pour s'envoler à 1.5499.
La devise de l'Australie s'est retrouvée sur la sellette après que des chiffres officiels aient montré que le pays avait connu 27 000 destructions d'emplois le mois dernier, alors que 200 créations étaient espérées, après les 27 800 ayant eu lieu en mai.
Le taux de chômage national est quand à lui passé comme redouté de 5.1 vers 5.2% dans le même temps.
La zone euro devait dévoiler dans l'après-midi les performances de sa production industrielle, et le gouvernement des Etats-Unis aire de même avec le nombre des nouveaux inscrits au chômage et l'évolution des prix à l'importation.
Les opérateurs surveilleront le produit intérieur brut chinois pour le second trimestre, devant être révélé demain, afin de savoir si la poussée expansionniste du pays va atterrir en douceur ou en catastrophe.
Une perte de vitesse aggravée de sa part pourrait mettre à mal une expansion économique générale déjà mise à mal par le problème du surendettement européen.