Investing.com - L'euro a largement reculé face à la plupart de ses concurrents ce mardi, les craintes concernant le plan de réduction des déficits de l'Espagne éclipsant un baromètre économique allemand supérieur aux attentes et le soulagement dû à l'attibution à la Grèce d'une nouvelle bouée de sauvetage.
En fin de première partie de séance europenne, il fléchissait devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.27% pour tomber à 1.312.
Le centre de recherches économiques ZEW a en effet indiqué que son indice du moral économique allemand avait bondi de 16.9 points vers 22.3 pour le mois, contre 5.4 lors du précédent.
Les experts s'étaient attendus à ne le voir progresser que de 5.1 unités jusqu'à 10.5 pour la période considérée.
Ces informations sont parvenues après que les ministres des l'Eurogroupe réunis à Bruxelles aient donné leur aval aux "mesures ajustés pour la Grèce", attriibuant ainsi à cette dernière une bouée de 130 milliards d'euros.
Mais la monnaie unique demeurait sur la sellette, l'Espagne ayant dû faire face à l'exigence par les dirigeants européens d'un renforcement de son plan de rigueur afin d'éviter une aggravation du problème du surendettement régional, après que son premier ministre ait revu en début de mois ses objectifs de déficit annuel à la hausse.
Elle a par contre fait ployer le yen, l'EUR/JPY gagnant 0.27% pour se hisser à 108.45.
La Banque du Japon avait maintenu sans surprise en début de matinée ses taux dans une fourchette entre zéro et 0.1%, maintenant d'autre part le volume de ses achats d'actifs à 30 billions de JPY, après l'avoir augmenté sans crier gare le mois dernier, affaiblissant ainsi sa devise.
Elle a toutefois cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0.43% pour tomber à 0.8373.
La devise de la Grande-Bretagne avait été renforcée par les chiffres officiels montrant que les exportations du pays vers l'extérieur de l'Union Européenne avaient établi en janvier un nouveau record, renforçant l'espoir que l'économie soit en train d'être relancée.
Le bureau national des statistiques britannique avait auparavant révélé que le déficit du commerce extérieur des biens s'était approfondi, passant de 7.18 milliards de GBP, leur plus bas niveau depuis décembre 2009, jusqu'à 7.53 milliards pour janvier, mais n'atteignant cependant pas les 7.88 redoutés.
Le franc suisse a quand à lui lgèrement subi sa pression, l'EUR/CHF grignotant 0.02% pour grimper à 1.2059.
Des informations émanant des autorités helvètes avaient de leur côté indiqué que l'inflation des coûts de production avait dépassé, avec 0.8%, les prévisions pour février, qui tablaient sur 0.3%.
Ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne lui ont fait subir leur domination, l'EUR/AUD laissant échapper 0.46% pour plonger à 1.2449, l'EUR/NZD s'effondrant de 0.85% pour sombrer à 1.5944 et l'EUR/CAD se repliant de 0.54% pour toucher le fond à 1.2984.
La popularité du dollar australien avait été écornée ce matin, après qu'une étude officiele ait mis en évidence pour janvier une chute des accords de prêts immobiliers, et qu'une autre faisait remarquer que la confiance des entreprises d'Australie était à son plus bas niveau des quatre derniers mois sur la même période.
Son homologue de Nouvelle-Zélande a par contre repris des couleurs après que des chiffres émanant du gouvernement aient montré que les prix de la nourriture avaient davantage augmenté en février qu'envisagé, tandis que les ventes de logements se renforçaient nettement.
Les Etats-Unis concluront la journée avec leur volume officiel des ventes auprès des particuliers, mais aussi celui des stocks des entreprises, puis leur banque centrale annoncera son taux d'intérêt directeur, et publiera un bulletin sur la question.
Les ministres des finances de la zone euro poursuivront quand à eux leurs pourparlers à Bruxelles.
En fin de première partie de séance europenne, il fléchissait devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.27% pour tomber à 1.312.
Le centre de recherches économiques ZEW a en effet indiqué que son indice du moral économique allemand avait bondi de 16.9 points vers 22.3 pour le mois, contre 5.4 lors du précédent.
Les experts s'étaient attendus à ne le voir progresser que de 5.1 unités jusqu'à 10.5 pour la période considérée.
Ces informations sont parvenues après que les ministres des l'Eurogroupe réunis à Bruxelles aient donné leur aval aux "mesures ajustés pour la Grèce", attriibuant ainsi à cette dernière une bouée de 130 milliards d'euros.
Mais la monnaie unique demeurait sur la sellette, l'Espagne ayant dû faire face à l'exigence par les dirigeants européens d'un renforcement de son plan de rigueur afin d'éviter une aggravation du problème du surendettement régional, après que son premier ministre ait revu en début de mois ses objectifs de déficit annuel à la hausse.
Elle a par contre fait ployer le yen, l'EUR/JPY gagnant 0.27% pour se hisser à 108.45.
La Banque du Japon avait maintenu sans surprise en début de matinée ses taux dans une fourchette entre zéro et 0.1%, maintenant d'autre part le volume de ses achats d'actifs à 30 billions de JPY, après l'avoir augmenté sans crier gare le mois dernier, affaiblissant ainsi sa devise.
Elle a toutefois cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0.43% pour tomber à 0.8373.
La devise de la Grande-Bretagne avait été renforcée par les chiffres officiels montrant que les exportations du pays vers l'extérieur de l'Union Européenne avaient établi en janvier un nouveau record, renforçant l'espoir que l'économie soit en train d'être relancée.
Le bureau national des statistiques britannique avait auparavant révélé que le déficit du commerce extérieur des biens s'était approfondi, passant de 7.18 milliards de GBP, leur plus bas niveau depuis décembre 2009, jusqu'à 7.53 milliards pour janvier, mais n'atteignant cependant pas les 7.88 redoutés.
Le franc suisse a quand à lui lgèrement subi sa pression, l'EUR/CHF grignotant 0.02% pour grimper à 1.2059.
Des informations émanant des autorités helvètes avaient de leur côté indiqué que l'inflation des coûts de production avait dépassé, avec 0.8%, les prévisions pour février, qui tablaient sur 0.3%.
Ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne lui ont fait subir leur domination, l'EUR/AUD laissant échapper 0.46% pour plonger à 1.2449, l'EUR/NZD s'effondrant de 0.85% pour sombrer à 1.5944 et l'EUR/CAD se repliant de 0.54% pour toucher le fond à 1.2984.
La popularité du dollar australien avait été écornée ce matin, après qu'une étude officiele ait mis en évidence pour janvier une chute des accords de prêts immobiliers, et qu'une autre faisait remarquer que la confiance des entreprises d'Australie était à son plus bas niveau des quatre derniers mois sur la même période.
Son homologue de Nouvelle-Zélande a par contre repris des couleurs après que des chiffres émanant du gouvernement aient montré que les prix de la nourriture avaient davantage augmenté en février qu'envisagé, tandis que les ventes de logements se renforçaient nettement.
Les Etats-Unis concluront la journée avec leur volume officiel des ventes auprès des particuliers, mais aussi celui des stocks des entreprises, puis leur banque centrale annoncera son taux d'intérêt directeur, et publiera un bulletin sur la question.
Les ministres des finances de la zone euro poursuivront quand à eux leurs pourparlers à Bruxelles.