Investing.com - L'euro était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, encouragé par le regain d'optimisme au sujet de la gestion de la crise de la dette dans la région l'ayant adopté, ainsi que par l'espoir d'accomodements supplémentaires de la part de la Réserve Fédérale.
En fin de première partie de séance européenne, il a fait fléchir le dollar U.S. pour se rapprocher d'un pic de quatre mois, l'EUR/USD grignotant 0.06% pour se hisser à 1.2906.
La monnaie unique bénéficiait toujours de l'approbation par la plus haute instance judiciaire de l'Allemagne de la participation du pays au Mécanisme Européen de Stabilité, le nouveau fonds de secours permanent à la région.
L'arrêt de la cour constitutionnelle allemande a ainsi donné son feu vert à la ratification sous conditions du traité qui l'instaure, permettant du même coup à la Banque Centrale Européenne d'entamer son programme d'achats d'actifs.
Il a en effet été précisé par l'institution que l'engagement national ne devait pas dépasser 190 milliards d'euros sans l'aval des députés, et que le parlement devait être tenu au courant des décisions à ce sujet.
L'unité monétaire européenne a également bénéficié de la réussite d'une émission de bons du trésor italiens, dont les coûts ont continué à diminuer suite à l'annonce la semaine passée par Mario Draghi, président de la BCE, du nouveau plan d'acquisitions d'obligations déjà évoqué.
Les conclusions cet après-midi des deux jours de réunion de la Fed faisaient aussi des gorges chaudes, sur fond d'hypothèse d'un nouveau coup de pouce dénommé "assouplissements quantitatifs" pour la plus grosse économie mondiale.
La livre sterling l'a quand à elle laissée frôler les abords d'un sommet de deux mois, l'EUR/GBP arrachant 0.01% pour grimper à 0.801.
Le yen lui a par contre fait subir sa pression, l'EUR/JPY trébuchant de 0.13% pour glisser à 100.29, mais pas le franc suisse, l'EUR/CHF gagnant 0.22% pour s'élever à 1.2115.
La Banque Nationale Suisse avait auparavant annoncé le maintien de son taux directeur à son niveau précédent, et réaffirmé son engagement dans la défense du taux plancher de sa devise à 1.2 par euro.
Elle a d'autre part revu à la baisse ses prévisions de croissance pour l'année en cours, passant des 1.5% espérés en juin à "environ 1%".
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise ont par ailleurs subi sa domination, l'EUR/USD engrangeant 0.35% pour culminer à 1.237, l'EUR/CAD avançant de 0.13% vers 1.2608 et l'EUR/NZD frémissant de 0.08% pour monter jusqu'à 1.5725.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait pour sa part gardé sans surprise un taux de base à 2.5% en début de matinée, sa plus faible valeur historique.
Son gouverneur Alan Bollard a précisé qu'il semblait peu utile de relever les frais liés aux emprunts jusqu'au second semestre 2013, en raison des risques découlant de la crise de la dette de la zone euro et des perspectives de croissance de ses partenaires commenciaux, parmi lesquels la Chine tient une place prépondérante.
Le gouvernement des Etats-Unis fournira de son côté cet après-midi ses informations sur les variations des coûts de production, ainsi que son dénombrement hebdomadaire des inscriptions au chômage.
Il ne faudra pas non plus négliger la Fed, qui annoncera son taux directeur, suivi d'un commentaire de la part de son chef, M. Bernanke.
En fin de première partie de séance européenne, il a fait fléchir le dollar U.S. pour se rapprocher d'un pic de quatre mois, l'EUR/USD grignotant 0.06% pour se hisser à 1.2906.
La monnaie unique bénéficiait toujours de l'approbation par la plus haute instance judiciaire de l'Allemagne de la participation du pays au Mécanisme Européen de Stabilité, le nouveau fonds de secours permanent à la région.
L'arrêt de la cour constitutionnelle allemande a ainsi donné son feu vert à la ratification sous conditions du traité qui l'instaure, permettant du même coup à la Banque Centrale Européenne d'entamer son programme d'achats d'actifs.
Il a en effet été précisé par l'institution que l'engagement national ne devait pas dépasser 190 milliards d'euros sans l'aval des députés, et que le parlement devait être tenu au courant des décisions à ce sujet.
L'unité monétaire européenne a également bénéficié de la réussite d'une émission de bons du trésor italiens, dont les coûts ont continué à diminuer suite à l'annonce la semaine passée par Mario Draghi, président de la BCE, du nouveau plan d'acquisitions d'obligations déjà évoqué.
Les conclusions cet après-midi des deux jours de réunion de la Fed faisaient aussi des gorges chaudes, sur fond d'hypothèse d'un nouveau coup de pouce dénommé "assouplissements quantitatifs" pour la plus grosse économie mondiale.
La livre sterling l'a quand à elle laissée frôler les abords d'un sommet de deux mois, l'EUR/GBP arrachant 0.01% pour grimper à 0.801.
Le yen lui a par contre fait subir sa pression, l'EUR/JPY trébuchant de 0.13% pour glisser à 100.29, mais pas le franc suisse, l'EUR/CHF gagnant 0.22% pour s'élever à 1.2115.
La Banque Nationale Suisse avait auparavant annoncé le maintien de son taux directeur à son niveau précédent, et réaffirmé son engagement dans la défense du taux plancher de sa devise à 1.2 par euro.
Elle a d'autre part revu à la baisse ses prévisions de croissance pour l'année en cours, passant des 1.5% espérés en juin à "environ 1%".
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise ont par ailleurs subi sa domination, l'EUR/USD engrangeant 0.35% pour culminer à 1.237, l'EUR/CAD avançant de 0.13% vers 1.2608 et l'EUR/NZD frémissant de 0.08% pour monter jusqu'à 1.5725.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait pour sa part gardé sans surprise un taux de base à 2.5% en début de matinée, sa plus faible valeur historique.
Son gouverneur Alan Bollard a précisé qu'il semblait peu utile de relever les frais liés aux emprunts jusqu'au second semestre 2013, en raison des risques découlant de la crise de la dette de la zone euro et des perspectives de croissance de ses partenaires commenciaux, parmi lesquels la Chine tient une place prépondérante.
Le gouvernement des Etats-Unis fournira de son côté cet après-midi ses informations sur les variations des coûts de production, ainsi que son dénombrement hebdomadaire des inscriptions au chômage.
Il ne faudra pas non plus négliger la Fed, qui annoncera son taux directeur, suivi d'un commentaire de la part de son chef, M. Bernanke.