Investing.com - L'euro demeurait confiné dans une bande étroite face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, les yeux restant tournés vers le discours que tiendra vendredi Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, en attendant des détails sur les plans de son homologue du Vieux Continent pour juguler la poussée de fièvre des emprunts espagnols et italiens.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. a fléchi devant lui, pour lui permettre de se rapprocher d'un pic des sept dernières semaines, l'EUR/USD grignotant 0.09% pour se hisser à 1.2541.
La prudence restait de mise dans l'expectative des propos que le chef de la Fed tiendra dans le Wyoming, sur fond de rumeurs concernant la propension de celle-ci à procéder à des encouragements supplémentaires.
Du côté de la zone euro, l'Italie a vu les coûts de ses emprunts diminuer lors d'une adjudication de dettes gouvernementales à 5 et 10 ans, un succès reflétant l'attente grandissante de mesures destinées à stabiliser les marchés obligataires régionaux provenant de la Banque Centrale Européenne à l'approche de sa réunion du 6 septembre.
Rome a en effet émis pour 4 milliards d'euros en obligations décennales à 5.82% de moyenne, au lieu des 5.96% précédents, se retrouvant ainsi à leur plus bas niveau depuis mars.
Elle a aussi écoulé 2.5 milliards d'euros en bons du trésor à 5 ans, avec un rapport de 4.73%, au lieu des 5.29% de juillet, constituant là aussi leur rapport le plus faible depuis mars.
La livre sterling lui a également cédé quelques pouces de terrain, l'EUR/GBP prenant 0.11% pour grimper à 0.7922.
Le gouvernement britannique avait auparavant souligné que les prêts nets aux particuliers avaient augmenté de 900 millions de GBP en juillet, au lieu des 1.1 milliards espérés.
Il était également à noter que le nombre national des accords de prêts hypothécaires était comme prévu remonté à 47 000 le mois dernier, après avoir touché le fond à 44 000 en juin, leur plus faible score en un an et demi.
Le yen a aussi légèrement subi sa pression, lui permettant de frôler un sommet de des six semaines passées, l'EUR/JPY arrachant 0.01% pour s'établir à 98.61, mais le franc suisse lui a farouchement résisté, l'EUR/CHF se maintenant à 1.2009.
Ses cousines australienne, canadienne et néo-zélandaise ont par ailleurs subi sa domination, l'EUR/AUD gagnant 0.28% pour monter 1.2141, l'EUR/CAD raflant 0.31% pour se retrouver à 1.2435 et l'EUR/NZD progressant de 0.03% pour culminer à 1.5655.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer cet après-midi leur volume des revenus individuels et leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. a fléchi devant lui, pour lui permettre de se rapprocher d'un pic des sept dernières semaines, l'EUR/USD grignotant 0.09% pour se hisser à 1.2541.
La prudence restait de mise dans l'expectative des propos que le chef de la Fed tiendra dans le Wyoming, sur fond de rumeurs concernant la propension de celle-ci à procéder à des encouragements supplémentaires.
Du côté de la zone euro, l'Italie a vu les coûts de ses emprunts diminuer lors d'une adjudication de dettes gouvernementales à 5 et 10 ans, un succès reflétant l'attente grandissante de mesures destinées à stabiliser les marchés obligataires régionaux provenant de la Banque Centrale Européenne à l'approche de sa réunion du 6 septembre.
Rome a en effet émis pour 4 milliards d'euros en obligations décennales à 5.82% de moyenne, au lieu des 5.96% précédents, se retrouvant ainsi à leur plus bas niveau depuis mars.
Elle a aussi écoulé 2.5 milliards d'euros en bons du trésor à 5 ans, avec un rapport de 4.73%, au lieu des 5.29% de juillet, constituant là aussi leur rapport le plus faible depuis mars.
La livre sterling lui a également cédé quelques pouces de terrain, l'EUR/GBP prenant 0.11% pour grimper à 0.7922.
Le gouvernement britannique avait auparavant souligné que les prêts nets aux particuliers avaient augmenté de 900 millions de GBP en juillet, au lieu des 1.1 milliards espérés.
Il était également à noter que le nombre national des accords de prêts hypothécaires était comme prévu remonté à 47 000 le mois dernier, après avoir touché le fond à 44 000 en juin, leur plus faible score en un an et demi.
Le yen a aussi légèrement subi sa pression, lui permettant de frôler un sommet de des six semaines passées, l'EUR/JPY arrachant 0.01% pour s'établir à 98.61, mais le franc suisse lui a farouchement résisté, l'EUR/CHF se maintenant à 1.2009.
Ses cousines australienne, canadienne et néo-zélandaise ont par ailleurs subi sa domination, l'EUR/AUD gagnant 0.28% pour monter 1.2141, l'EUR/CAD raflant 0.31% pour se retrouver à 1.2435 et l'EUR/NZD progressant de 0.03% pour culminer à 1.5655.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer cet après-midi leur volume des revenus individuels et leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.