Investing.com - L'euro ne craquait pas face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, dans l'attente de l'annonce après la réunion de la Banque Centrale Européenne d'initiatives décisives pour endiguer le problème du surendettement régional.
En fin de première partie de séance de l'Europe, le dollar U.S. a fléchi devant lui, l'EUR/USD grignotant 0.09% pour se hisser à 1.2613.
La monnaie unique a en effet retrouvé des partisans ces dernières semaines, avec l'espoir que la BCE fasse connaître dans le détail son plan destiné à stabiliser les marchés obligataires du bloc où elle a cours lors de la conférence de presse suivant son conseil d'orientation d'aujourd'hui.
Ce phénomène s'est accentué mercredi, après que l'agence de presse Bloomberg ait rapporté que l'organisme prévoyait des acquisitions illimitées de bons du trésor courant jusqu'à trois ans, sans plafonds de taux.
La France a d'autre part vu les dividendes de ses obligations à cinq et dix ans plonger lors d'une émission ayant eu lieu aujourd'hui, ceux à deux, trois et quatre ans mises aux enchères par Madrid ayant également diminué.
L'information selon laquelle le produit intérieur brut de la région l'ayant adoptée avait fondu de 0.2% au second trimestre, conformément aux attentes et à son évaluation préliminaire, n'a quand à elle guère causé de mouvements.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP arrachant 0.03% pour grimper à 0.7926.
La Banque d'Angleterre comptait elle aussi procéder à une prise de cap dans la journée, mais ne devrait vraisemblablement pas modifier les 0.5% de son taux d'intérêt directeur et le montant de ses acquisitions d'actifs envisagées.
Le yen a plus nettement subi sa pression, l'EUR/JPY gagnant 0.17% pour s'élever à 98.92, mais le franc suisse a limité les dégâts, l'EUR/CHF n'avançant que de 0.07% pour s'échanger à 1.2049.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise ont par contre exercé leur domination, l'EUR/AUD dérapant de 0.42% pour chuter à 1.231, l'EUR/CAD laissant échaper 0.07% pour descendre à 1.2472 et l'EUR/NZD perdant 0.17% pour glisser à 1.5826.
Les autorités d'Australie avaient fait savoir en début de matinée que le taux de chômage national avait reculé sans crier gare de 5.2 vers 5.1 pour août, alors qu'une ascension à 5.3% était redoutée.
Le pays a toutefois compté 8 000 employés de moins pour cette période, alors que 5 000 postes supplémentaires étaient envisagés.
Les Etats-Unis divulgueront de leur côté cet après-midi les évolutions du nombre de leurs salariés hors agriculture mesurées par l'agence de gestion des ressources humaines ADP, après quoi leur gouvernement fera de même avec leur décompte hebdomadaire des nouveaux inscrits au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements rendra une étude sur l'activité tertiaire.
En fin de première partie de séance de l'Europe, le dollar U.S. a fléchi devant lui, l'EUR/USD grignotant 0.09% pour se hisser à 1.2613.
La monnaie unique a en effet retrouvé des partisans ces dernières semaines, avec l'espoir que la BCE fasse connaître dans le détail son plan destiné à stabiliser les marchés obligataires du bloc où elle a cours lors de la conférence de presse suivant son conseil d'orientation d'aujourd'hui.
Ce phénomène s'est accentué mercredi, après que l'agence de presse Bloomberg ait rapporté que l'organisme prévoyait des acquisitions illimitées de bons du trésor courant jusqu'à trois ans, sans plafonds de taux.
La France a d'autre part vu les dividendes de ses obligations à cinq et dix ans plonger lors d'une émission ayant eu lieu aujourd'hui, ceux à deux, trois et quatre ans mises aux enchères par Madrid ayant également diminué.
L'information selon laquelle le produit intérieur brut de la région l'ayant adoptée avait fondu de 0.2% au second trimestre, conformément aux attentes et à son évaluation préliminaire, n'a quand à elle guère causé de mouvements.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP arrachant 0.03% pour grimper à 0.7926.
La Banque d'Angleterre comptait elle aussi procéder à une prise de cap dans la journée, mais ne devrait vraisemblablement pas modifier les 0.5% de son taux d'intérêt directeur et le montant de ses acquisitions d'actifs envisagées.
Le yen a plus nettement subi sa pression, l'EUR/JPY gagnant 0.17% pour s'élever à 98.92, mais le franc suisse a limité les dégâts, l'EUR/CHF n'avançant que de 0.07% pour s'échanger à 1.2049.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise ont par contre exercé leur domination, l'EUR/AUD dérapant de 0.42% pour chuter à 1.231, l'EUR/CAD laissant échaper 0.07% pour descendre à 1.2472 et l'EUR/NZD perdant 0.17% pour glisser à 1.5826.
Les autorités d'Australie avaient fait savoir en début de matinée que le taux de chômage national avait reculé sans crier gare de 5.2 vers 5.1 pour août, alors qu'une ascension à 5.3% était redoutée.
Le pays a toutefois compté 8 000 employés de moins pour cette période, alors que 5 000 postes supplémentaires étaient envisagés.
Les Etats-Unis divulgueront de leur côté cet après-midi les évolutions du nombre de leurs salariés hors agriculture mesurées par l'agence de gestion des ressources humaines ADP, après quoi leur gouvernement fera de même avec leur décompte hebdomadaire des nouveaux inscrits au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements rendra une étude sur l'activité tertiaire.