Investing.com - L'euro s'est retrouvé confiné dans une fourchette étroite face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, les échanges demeurant sans éclat l'inconnue du moment où l'Espagne pourrait réclamer une bouée de sauvetage alourdissant l'atmosphère, à l'approche des résultats américains de l'après-midi.
En début de seconde partie de séance européenne, il a du coup fléchi face au dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.12% pour chuter à 1.2902.
La monnaie unique restait fragiliée après que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy ait exclu dans la soirée de mardi qu'une demande de secours soit imminente, malgré les rumeurs grandissantes d'un recours à une aide extérieure.
La valeur refuge du billet vert avait auparavant bénéficié des revers du secteur tertiaire subis en Europe et en Chine, faisant ressurgir le spectre de l'incapacité de l'économie mondiale à rebondir.
Des informations révisées signalaient ainsi que l'indice de l'activité de celui du bloc euro avait chuté jusqu'à 46.1 dans le même temps, nettement au-dessous des 50 dénotant la progression.
La livre sterling lui a par contre cédé quelques pouces de terrain, l'EUR/GBP grignotant 0.04% pour se hisser à 0.801.
Les prestataires de services britanniques ont quand à eux constaté le mois passé les premières pertes d'emploi depuis juillet 2011, semant le doute quand aux possibilités de rebond national après une forte récession.
Le yen a à peine exercé sa pression, mais le franc suisse l'a légèrement subie, l'EUR/JPY glissant de 0.01% pour s'établir à 100.94 et l'EUR/CHF arrachant 0.03% pour grimper à 1.2101.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise ont par ailleurs été dominées, l'EUR/AUS engrangeant 0.35% pour monter à 1.2627, l'EUR/CAD prenant 0.19% pour s'élever à 1.2738 et l'EUR/NZD raflant 0.63% pour culminer à 1.5707.
Il avait été révélé à l'aube que l'Australie avait enregistré en août le déficit le plus important de sa balance commerciale en trois ans et demi, en raison d'un affaiblissement de la demande à l'exportation, au lendemain du troisième rabaissement des taux d'intérêt de sa banque centrale en six mois.
Des chiffres officiels avaient aussi montré en début de matinée que la croissance des services chinois avait été plus modérée en septembre, attisant l'angoisse d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale, et nuisant aux monnaies fortement dépendantes des exportations.
Aux Etats-Unis, l'agence de gestion des ressources humaines ADP comptait de son côté conclure la journée avec ses informations au sujet de l'évolution du nombre des salariés hors agriculture, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements divulguera une étude sur l'activité dans le domaine des services.
En début de seconde partie de séance européenne, il a du coup fléchi face au dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.12% pour chuter à 1.2902.
La monnaie unique restait fragiliée après que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy ait exclu dans la soirée de mardi qu'une demande de secours soit imminente, malgré les rumeurs grandissantes d'un recours à une aide extérieure.
La valeur refuge du billet vert avait auparavant bénéficié des revers du secteur tertiaire subis en Europe et en Chine, faisant ressurgir le spectre de l'incapacité de l'économie mondiale à rebondir.
Des informations révisées signalaient ainsi que l'indice de l'activité de celui du bloc euro avait chuté jusqu'à 46.1 dans le même temps, nettement au-dessous des 50 dénotant la progression.
La livre sterling lui a par contre cédé quelques pouces de terrain, l'EUR/GBP grignotant 0.04% pour se hisser à 0.801.
Les prestataires de services britanniques ont quand à eux constaté le mois passé les premières pertes d'emploi depuis juillet 2011, semant le doute quand aux possibilités de rebond national après une forte récession.
Le yen a à peine exercé sa pression, mais le franc suisse l'a légèrement subie, l'EUR/JPY glissant de 0.01% pour s'établir à 100.94 et l'EUR/CHF arrachant 0.03% pour grimper à 1.2101.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise ont par ailleurs été dominées, l'EUR/AUS engrangeant 0.35% pour monter à 1.2627, l'EUR/CAD prenant 0.19% pour s'élever à 1.2738 et l'EUR/NZD raflant 0.63% pour culminer à 1.5707.
Il avait été révélé à l'aube que l'Australie avait enregistré en août le déficit le plus important de sa balance commerciale en trois ans et demi, en raison d'un affaiblissement de la demande à l'exportation, au lendemain du troisième rabaissement des taux d'intérêt de sa banque centrale en six mois.
Des chiffres officiels avaient aussi montré en début de matinée que la croissance des services chinois avait été plus modérée en septembre, attisant l'angoisse d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale, et nuisant aux monnaies fortement dépendantes des exportations.
Aux Etats-Unis, l'agence de gestion des ressources humaines ADP comptait de son côté conclure la journée avec ses informations au sujet de l'évolution du nombre des salariés hors agriculture, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements divulguera une étude sur l'activité dans le domaine des services.