Investing.com - L'euro était largement en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, son blason se trouvant terni par une série de résultats décevants de la part des secteurs secondaire et tertiaire du bloc l'ayant adopté, sur fond de craintes concernant la croissance mondiale.
En début de seconde partie de séance européenne, il a flanché devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD plongeant de 0.61% pour sombrer à 1.2969.
Il s'est en effet retrouvé sur la sellette après que des évaluations préliminaires aient montré que l'activité manufacturière de la zone euro avait davantage redressé la tête en septembre qu'espéré, tandis que celle des services chutait sans crier gare.
Mais il a aussi été souligné que les usines allemandes avaient connu le ralentissement de leur activité le moins important en six mois, tandis que les services progressaient modérément.
Il avait été montré en début de matinée que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC pour la Chine, était remonté de 47.6, sa plus faible valeur en neuf mois, vers 47.8 pour septembre.
Madrid a ensuite émis pour 859 milliards d'obligations décennales, à un taux moyen de 5.66%, au lieu des 6.64% des enchères similaires du mois dernier.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP perdant 0.4% pour tomber à 0.8012.
Celle-ci avait retrouvé du mordant après qu'il ait été révélé que les ventes au détail britanniques n'avaient reculé que de 0.2% pour le mois dernier, au lieu des 0.4% redoutés, après avoir gagné 0.3% en juillet.
Le yen et le franc suisse ont également exercé leur pression, l'EUR/JPY dégringolant de 0.8% vers 101.45, et l'EUR/CHF glissant de 0.13% pour reprendre pied à 1.2087.
Les autorités du Japon avaient fait savoir en début de matinée que le déficit du commerce extérieur national avait grimper depuis 370 jusqu'à 470 milliards de JPY pour août, alors que les experts pensaient le voir s'y maintenir.
L'excédent de la balance commerciale helvète a d'autre part moins diminué en août qu'envisagé, passant de 2.875 à 1.733 milliards de CHF.
Ses homologues canadienne et néo-zélandaise lui ont fait subir leur domination, mais pas l'australienne, l'EUR/AUD avançant de 0.19% jusqu'à 1.2475, l'EUR/CAD laissant échapper un pourcentage identique pour se retrouver à 1.2692, et l'EUR/NZD fondant de 0.24% pour toucher le fond à 1.5747.
Les valeurs liées aux matières premières ont souffert ce matin, l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC pour la Chine, étant remonté de 47.6, sa plus faible valeur en neuf mois, vers 47.8 pour septembre, demeurant toutefois sous la barre fatidique des 50 pour le onzième mois d'affilée, dénotant la poursuite de la contraction dans ce domaine.
Le gouvernement des Etats-Unis comptait de son côté diffuser en fin de journée son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que son baromètre de l'activité des industries dans la région de Philadelphie.
En début de seconde partie de séance européenne, il a flanché devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD plongeant de 0.61% pour sombrer à 1.2969.
Il s'est en effet retrouvé sur la sellette après que des évaluations préliminaires aient montré que l'activité manufacturière de la zone euro avait davantage redressé la tête en septembre qu'espéré, tandis que celle des services chutait sans crier gare.
Mais il a aussi été souligné que les usines allemandes avaient connu le ralentissement de leur activité le moins important en six mois, tandis que les services progressaient modérément.
Il avait été montré en début de matinée que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC pour la Chine, était remonté de 47.6, sa plus faible valeur en neuf mois, vers 47.8 pour septembre.
Madrid a ensuite émis pour 859 milliards d'obligations décennales, à un taux moyen de 5.66%, au lieu des 6.64% des enchères similaires du mois dernier.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP perdant 0.4% pour tomber à 0.8012.
Celle-ci avait retrouvé du mordant après qu'il ait été révélé que les ventes au détail britanniques n'avaient reculé que de 0.2% pour le mois dernier, au lieu des 0.4% redoutés, après avoir gagné 0.3% en juillet.
Le yen et le franc suisse ont également exercé leur pression, l'EUR/JPY dégringolant de 0.8% vers 101.45, et l'EUR/CHF glissant de 0.13% pour reprendre pied à 1.2087.
Les autorités du Japon avaient fait savoir en début de matinée que le déficit du commerce extérieur national avait grimper depuis 370 jusqu'à 470 milliards de JPY pour août, alors que les experts pensaient le voir s'y maintenir.
L'excédent de la balance commerciale helvète a d'autre part moins diminué en août qu'envisagé, passant de 2.875 à 1.733 milliards de CHF.
Ses homologues canadienne et néo-zélandaise lui ont fait subir leur domination, mais pas l'australienne, l'EUR/AUD avançant de 0.19% jusqu'à 1.2475, l'EUR/CAD laissant échapper un pourcentage identique pour se retrouver à 1.2692, et l'EUR/NZD fondant de 0.24% pour toucher le fond à 1.5747.
Les valeurs liées aux matières premières ont souffert ce matin, l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC pour la Chine, étant remonté de 47.6, sa plus faible valeur en neuf mois, vers 47.8 pour septembre, demeurant toutefois sous la barre fatidique des 50 pour le onzième mois d'affilée, dénotant la poursuite de la contraction dans ce domaine.
Le gouvernement des Etats-Unis comptait de son côté diffuser en fin de journée son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que son baromètre de l'activité des industries dans la région de Philadelphie.