Investing.com - L'euro était en fâcheuse posture face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, l'inquiétude étant palpable à l'approche du conseil d'orientation cruciale que la Banque Centrale Européenne tiendra demain.
En fin de première partie de séance européenne, il a ainsi fléchi devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.18% pour chuter à 1.2543.
La popularité de la monnaie unique s'est ainsi vue écornée par le doute croissant concernant une éventuelle révélation par la Banque Centrale Européenne des détails d'un plan destiné à stabiliser les marchés obligataires du bloc où elle a cours après son conseil d'orientation de jeudi.
Elle s'est aussi retrouvée sur la sellette après qu'il ait été montré que l'activité tertiaire du bloc l'ayant adoptée avait diminué légèrement plus vite en août qu'il n'avait été redouté, alimentant la crainte d'une entrée en récession technique de celle-ci.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet annoncé que son indice des directeurs des achats du domaine tertiaire du bloc euro était tombé à 47.2 pour août, après révision à la baisse de leur évaluation préalable à 47.5, alors que les experts ne s'attendaient pourtant pas à le voir évoluer.
Celui de l'Allemagne a quand à lui subi son recul le plus rapide en trois ans en plongeant à 48.3.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a quand à elle fait savoir que les ventes au détail de la région avaient régressé de 0.2% en juillet, pour amener leur taux de diminution annuel à 1.7%.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP cédant 0.28% pour glisser à 0.7896.
La devise de la Grande-Bretagne gardait quand à elle du mordant après que des résultats supérieurs aux attentes de la part du secteur tertiaire britannique soient allés à l'encontre de l'hypothèse d'accomodements supplémentaires de la part de la Banque d'Angleterre qui seraient dévoilés le même jour.
Le yen a également exercé sa pression, l'EUR/JPY laissant échapper 0.21% pour reprendre pied à 98.35, mais à fait mieux que résister au franc suisse, l'EUR/CHF arrachant 0.02% pour se hisser à 1.2013.
La devise helvète n'avait guère été bouleversée par la nouvelle selon laquelle les prix à la consommation de la confédération n'avaient pas évolué en août, au lieu des 0.1% d'augmentation envisagés.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise ont également été dominées, l'EUR/AUD prenant 0.22% pour grimper à 1.2316, l'EUR/CAD grignotant 0.05% pour s'établir à 1.2395 et l'EUR/NZD raflant 0.03% pour culminer à 1.582.
L'unité monétaire de l'Australie a été boudée après qu'une étude de source gouvernementale ait montré que le produit intérieur brut national n'avait progressé que de 0.6% au second trimestre, alors que 0.7% étaient espérés après les 1.4% constatés de janvier à mars.
Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, quand à lui déclaré ce matin que la zone euro serait bénéficierait de davantage de stabilité en 2013 et qu'elle garderait sa forme actuelle.
En fin de première partie de séance européenne, il a ainsi fléchi devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.18% pour chuter à 1.2543.
La popularité de la monnaie unique s'est ainsi vue écornée par le doute croissant concernant une éventuelle révélation par la Banque Centrale Européenne des détails d'un plan destiné à stabiliser les marchés obligataires du bloc où elle a cours après son conseil d'orientation de jeudi.
Elle s'est aussi retrouvée sur la sellette après qu'il ait été montré que l'activité tertiaire du bloc l'ayant adoptée avait diminué légèrement plus vite en août qu'il n'avait été redouté, alimentant la crainte d'une entrée en récession technique de celle-ci.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet annoncé que son indice des directeurs des achats du domaine tertiaire du bloc euro était tombé à 47.2 pour août, après révision à la baisse de leur évaluation préalable à 47.5, alors que les experts ne s'attendaient pourtant pas à le voir évoluer.
Celui de l'Allemagne a quand à lui subi son recul le plus rapide en trois ans en plongeant à 48.3.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a quand à elle fait savoir que les ventes au détail de la région avaient régressé de 0.2% en juillet, pour amener leur taux de diminution annuel à 1.7%.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP cédant 0.28% pour glisser à 0.7896.
La devise de la Grande-Bretagne gardait quand à elle du mordant après que des résultats supérieurs aux attentes de la part du secteur tertiaire britannique soient allés à l'encontre de l'hypothèse d'accomodements supplémentaires de la part de la Banque d'Angleterre qui seraient dévoilés le même jour.
Le yen a également exercé sa pression, l'EUR/JPY laissant échapper 0.21% pour reprendre pied à 98.35, mais à fait mieux que résister au franc suisse, l'EUR/CHF arrachant 0.02% pour se hisser à 1.2013.
La devise helvète n'avait guère été bouleversée par la nouvelle selon laquelle les prix à la consommation de la confédération n'avaient pas évolué en août, au lieu des 0.1% d'augmentation envisagés.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise ont également été dominées, l'EUR/AUD prenant 0.22% pour grimper à 1.2316, l'EUR/CAD grignotant 0.05% pour s'établir à 1.2395 et l'EUR/NZD raflant 0.03% pour culminer à 1.582.
L'unité monétaire de l'Australie a été boudée après qu'une étude de source gouvernementale ait montré que le produit intérieur brut national n'avait progressé que de 0.6% au second trimestre, alors que 0.7% étaient espérés après les 1.4% constatés de janvier à mars.
Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, quand à lui déclaré ce matin que la zone euro serait bénéficierait de davantage de stabilité en 2013 et qu'elle garderait sa forme actuelle.