Investing.com - L'euro s'est rapproché de son pic de près de deux ans établi la semaine passée face au dollar U.S. ce mardi après-midi, et repris du poil de la bête par rapport à ses homologues du Royaume-Uni et du Japon, dans le sillage de l'intervention d'un des décideurs de son émettrice.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3813 en première partie de séance américaine, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3808, grignotant 0,16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3740, son plancher du 23 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1,3831, son plafond de 23 mois établi vendredi.
La monnaie unique a en effet retrouvé des couleurs après que Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, ait rappelé que celui-ci avait peu de chances de modifier son taux d'intérêt ou celui appliqué aux dépôts lors de sa réunion de la semaine prochaine, estimant aussi qu'il ne disposait pas de leviers permettant de lutter efficacement contre son appréciation.
Elle a suivi un chemin identique avec la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0,50% pour se hisser à 0,8582.
Il en allait de même contre le yen, l'EUR/JPY prenant 0,35% pour culminer à 135,09.
Le billet vert demeurait sur la sellette, le faux pas d'une ampleure inattendue de la confiance des consommateurs là où il a cours ayant consolidé l'hypothèse de la poursuite des injections de capitaux de son la Réserve Fédérale dans le sillage de sa prise de cap s'échevant demain.
Le baromètre de la confiance des consommateurs établi par le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a ainsi dégringolé depuis les 80,2 revus à la hausse du mois dernier jusqu'à 71,2, secoué par les crises budgétaires ayant entraîné des débrayages administratifs et des querelles au sujet du plafond d'endettement national.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir passer au-dessous des 75,0 pour la période considérée.
Il avait auparavant été indiqué aujourd'hui que les ventes au détail américaines avaient subi une déconvenue de 0,1% en septembre, alors qu'un sursaut de 0,1% semblait probable, celles des produits de base, excluant les moyens de transport, grignotant cependant 0,4% comme prévu.
Il avait aussi été noté que les coûts de production des Etats-Unis avaient été rabotés de 0,1% dans le même temps, au lieu d'augmenter de 0,2% comme prévu, leur inflation de base se situant sans surprise à 0,1%.
Ces résultats peu glorieux ont confortée l'idée selon laquelle leur banque centrale n'annoncera probablement pas de modification dans le volume de ses aides jusqu'à ce que le premier trimestre 2014 soit bien entamé, afin de protéger la fragile relance de leur économie.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3813 en première partie de séance américaine, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3808, grignotant 0,16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3740, son plancher du 23 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1,3831, son plafond de 23 mois établi vendredi.
La monnaie unique a en effet retrouvé des couleurs après que Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, ait rappelé que celui-ci avait peu de chances de modifier son taux d'intérêt ou celui appliqué aux dépôts lors de sa réunion de la semaine prochaine, estimant aussi qu'il ne disposait pas de leviers permettant de lutter efficacement contre son appréciation.
Elle a suivi un chemin identique avec la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0,50% pour se hisser à 0,8582.
Il en allait de même contre le yen, l'EUR/JPY prenant 0,35% pour culminer à 135,09.
Le billet vert demeurait sur la sellette, le faux pas d'une ampleure inattendue de la confiance des consommateurs là où il a cours ayant consolidé l'hypothèse de la poursuite des injections de capitaux de son la Réserve Fédérale dans le sillage de sa prise de cap s'échevant demain.
Le baromètre de la confiance des consommateurs établi par le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a ainsi dégringolé depuis les 80,2 revus à la hausse du mois dernier jusqu'à 71,2, secoué par les crises budgétaires ayant entraîné des débrayages administratifs et des querelles au sujet du plafond d'endettement national.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir passer au-dessous des 75,0 pour la période considérée.
Il avait auparavant été indiqué aujourd'hui que les ventes au détail américaines avaient subi une déconvenue de 0,1% en septembre, alors qu'un sursaut de 0,1% semblait probable, celles des produits de base, excluant les moyens de transport, grignotant cependant 0,4% comme prévu.
Il avait aussi été noté que les coûts de production des Etats-Unis avaient été rabotés de 0,1% dans le même temps, au lieu d'augmenter de 0,2% comme prévu, leur inflation de base se situant sans surprise à 0,1%.
Ces résultats peu glorieux ont confortée l'idée selon laquelle leur banque centrale n'annoncera probablement pas de modification dans le volume de ses aides jusqu'à ce que le premier trimestre 2014 soit bien entamé, afin de protéger la fragile relance de leur économie.