Investing.com - L'euro a laissé un dollar U.S. requinqué prendre l'avantage ce mardi matin, ce dernier ayant remis du charbon dans la machine après avoir faibli hier dans le sillage de la déconvenue sur le front industriel là où il a cours.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3054 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3060, perdant 0,11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2954, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3106, son plafond de trois semaines établi le même jour.
Le billet vert avait pâli lundi par rapport à ses principaux concurrents, après qu'il ait été montré que l'activité du secteur manufacturier des Etats-Unis avait subi en mai sa première rétraction en six mois.
L'institut de gestion des approvisionnements a ainsi révélé que son indice des directeurs des achats du secteur secondaire avait sombré jusqu'à 49,0, sa pire valeur depuis juin 2009, nettement inférieure aux 50 dénotant une croissance dans ce domaine.
Cette contre-performance est venue étouffer les bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La monnaie unique a par ailleurs cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,05% pour se rétracter à 0,8531, mais a dominé le yen, l'EUR/JPY grimpant de 0,55% pour se hisser à 130,83.
L'Espagne compte pour sa part faire aujourd'hui connaître l'évolution du nombre de ses demandeurs d'emploi, , après quoi les Etats-Unis concluront la journée avec le solde de leur balance commerciale.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3054 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3060, perdant 0,11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2954, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3106, son plafond de trois semaines établi le même jour.
Le billet vert avait pâli lundi par rapport à ses principaux concurrents, après qu'il ait été montré que l'activité du secteur manufacturier des Etats-Unis avait subi en mai sa première rétraction en six mois.
L'institut de gestion des approvisionnements a ainsi révélé que son indice des directeurs des achats du secteur secondaire avait sombré jusqu'à 49,0, sa pire valeur depuis juin 2009, nettement inférieure aux 50 dénotant une croissance dans ce domaine.
Cette contre-performance est venue étouffer les bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La monnaie unique a par ailleurs cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,05% pour se rétracter à 0,8531, mais a dominé le yen, l'EUR/JPY grimpant de 0,55% pour se hisser à 130,83.
L'Espagne compte pour sa part faire aujourd'hui connaître l'évolution du nombre de ses demandeurs d'emploi, , après quoi les Etats-Unis concluront la journée avec le solde de leur balance commerciale.