Investing.com - L'euro conservait l'avantage face au dollar U.S. ce vendredi après-midi, frôlant un pic de 14 mois suite à la déception entraînée par des résultats américains peu enthousiasmants, tout en bénéficiant des belles performances du bloc l'ayant adopté.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3675 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 15 novembre 2011, puis s'est stabilisée vers 1.3656, gagnant 0.59%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3574, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.3788, son plafond du 14 novembre 2011.
Le bureau des statistiques de l'emploi a en effet annoncé que l'économie des Etats-Unis avait créé 157 000 postes en janvier, soit un peu moins que les 160 000 envisagés, suite aux 197 000 du mois précédent.
Il a aussi signalé que le taux de chômage national avait augmenté sans prévenir sur la même période, frémissant de 7.8 vers 7.9%, alors qu'une stagnation était envisagée.
La monnaie unique avait pris le dessus après que des informations émanant des autorités aient souligné que la proportion des demandeurs d'emploi dans la région où elle a cours s'était stabilisé à 11.7% pour décembre, alors qu'une montée à 11.9% était anticipée.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de l'Espagne était remonté depuis 44.6 jusqu'à 46.1 pour janvier, au lieu des 45.5 espérés, et que celui de la zone euro avait frémi de 47.5 vers 47.9, alors qu'une stagnation était redoutée sur la période considérée.
Il était aussi à noter que l'inflation des prix à la consommation de la région avait reculé depuis 2.2 vers 2% annualisés pour janvier, tandis que les experts prédissaient une stabilisation.
L'unité monétaire européenne a par ailleurs nettement dominé la livre sterling, l'EUR/GBP bondissant de 0.83% pour caracoler à 0.8633.
L'institut d'études économiques Markit avait aussi révélé dans la matinée que son baromètre de l'activité des usines britanniques avait subi une érosion de 51.2 vers 50.8 pour le premier mois de l'année, alors qu'un déclin à 51 était déjà craint.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura de son côté la semaine avec son étude sur l'activité des usines nationales, et l'université du Michigan fera de même avec son étude révisée sur le moral des consommateurs.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3675 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 15 novembre 2011, puis s'est stabilisée vers 1.3656, gagnant 0.59%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3574, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.3788, son plafond du 14 novembre 2011.
Le bureau des statistiques de l'emploi a en effet annoncé que l'économie des Etats-Unis avait créé 157 000 postes en janvier, soit un peu moins que les 160 000 envisagés, suite aux 197 000 du mois précédent.
Il a aussi signalé que le taux de chômage national avait augmenté sans prévenir sur la même période, frémissant de 7.8 vers 7.9%, alors qu'une stagnation était envisagée.
La monnaie unique avait pris le dessus après que des informations émanant des autorités aient souligné que la proportion des demandeurs d'emploi dans la région où elle a cours s'était stabilisé à 11.7% pour décembre, alors qu'une montée à 11.9% était anticipée.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de l'Espagne était remonté depuis 44.6 jusqu'à 46.1 pour janvier, au lieu des 45.5 espérés, et que celui de la zone euro avait frémi de 47.5 vers 47.9, alors qu'une stagnation était redoutée sur la période considérée.
Il était aussi à noter que l'inflation des prix à la consommation de la région avait reculé depuis 2.2 vers 2% annualisés pour janvier, tandis que les experts prédissaient une stabilisation.
L'unité monétaire européenne a par ailleurs nettement dominé la livre sterling, l'EUR/GBP bondissant de 0.83% pour caracoler à 0.8633.
L'institut d'études économiques Markit avait aussi révélé dans la matinée que son baromètre de l'activité des usines britanniques avait subi une érosion de 51.2 vers 50.8 pour le premier mois de l'année, alors qu'un déclin à 51 était déjà craint.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura de son côté la semaine avec son étude sur l'activité des usines nationales, et l'université du Michigan fera de même avec son étude révisée sur le moral des consommateurs.