Investing.com - L'euro a pris le dessus face au dollar U.S. ce lundi matin, mais son avancée demeurait limitée par les rumeurs persistantes de serrage des boulons de l'émettrice de ce dernier, le moral se trouvant aussi affecté par des statistiques peu reluisantes concernant les usines chinoises.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3034 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3030, grignotant 0,16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2983, son plancher du 26 juin, et de rencontrer de la résistance à 1,3086, son plafond établi le même jour.
Le billet vert continuait à profiter des attentes de réduction des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale, les yeux sur les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, qui pourraient accentuer le mouvement en cas de belles performances.
L'angoisse d'un essoufflement de l'essor de la Chine continuait aussi à flotter dans le sillage des résultats médiocres de ses usines.
Une étude officielle a ainsi signalé à l'aube que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine s'était rétracté depuis 50,8 vers 50,1 pour juin, limitant les dégâts par rapport aux 50,0 redoutés.
Il a ensuite été noté que son équivalent établi par la banque HSBC subissait dans le même temps une érosion partant d'une évaluation préalable à 48,3 jusqu'à 48,2, s'enfonçant davantage sous la barre des 50 dénotant une croissance du secteur, et constituant son pire niveau en neuf mois.
La monnaie unique a par ailleurs arraché quelques centimètres de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP frémissant de 0,05% pour se hisser à 0,8558, et a plus nettement creusé l'écart sur le yen, l'EUR/JPY gagnant 0,45% pour s'élever à 129,57.
Les autorités européennes comptaient dévoiler aujourd'hui le taux de chômage de la région et l'évolution de ses prix à la consommation, après quoi l'institut de gestion des approvisionnements rendra un rapport sur l'activité manufacturière des Etats-Unis.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3034 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3030, grignotant 0,16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2983, son plancher du 26 juin, et de rencontrer de la résistance à 1,3086, son plafond établi le même jour.
Le billet vert continuait à profiter des attentes de réduction des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale, les yeux sur les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, qui pourraient accentuer le mouvement en cas de belles performances.
L'angoisse d'un essoufflement de l'essor de la Chine continuait aussi à flotter dans le sillage des résultats médiocres de ses usines.
Une étude officielle a ainsi signalé à l'aube que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine s'était rétracté depuis 50,8 vers 50,1 pour juin, limitant les dégâts par rapport aux 50,0 redoutés.
Il a ensuite été noté que son équivalent établi par la banque HSBC subissait dans le même temps une érosion partant d'une évaluation préalable à 48,3 jusqu'à 48,2, s'enfonçant davantage sous la barre des 50 dénotant une croissance du secteur, et constituant son pire niveau en neuf mois.
La monnaie unique a par ailleurs arraché quelques centimètres de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP frémissant de 0,05% pour se hisser à 0,8558, et a plus nettement creusé l'écart sur le yen, l'EUR/JPY gagnant 0,45% pour s'élever à 129,57.
Les autorités européennes comptaient dévoiler aujourd'hui le taux de chômage de la région et l'évolution de ses prix à la consommation, après quoi l'institut de gestion des approvisionnements rendra un rapport sur l'activité manufacturière des Etats-Unis.