Investing.com - L'euro était proche d'un creux de deux semaines et demi face au dollar U.S. ce vendredi, subissant les rumeurs selon lesquelles son émettrice prendrait enfin de nouvelles mesures destinées à encourager la croissance de la région où il a cours.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3540 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas depuis le 17 octobre, puis s'est stabilisée vers 1,3560, perdant 0,17%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3480, son plancher du 15 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1,3682, son plafond du 17.
La monnaie unique demeurait en effet fragilisée après qu'il ait été montré hier que l'inflation du bloc l'ayant adoptée avait été le mois passé la plus faible en quatre ans, faisant enfler les bruits affirmant qu'une baisse des taux Banque Centrale Européenne pourrait de nouveau avoir lieu.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a ainsi mesuré 0,7% d'augmentation des prix au détail pour octobre, la plus minime depuis novembre 2009, constituant un coup de frein par rapport aux 1,1% ayant précédé.
Il était aussi à noter que le chômage de la région s'était maintenu à 12,2% en septembre, son plus haut niveau de tous les temps.
Une série de chiffres positifs américain a par contre dans le même temps requinqué le billet vert, signalant que l'activité manufacturière dans la région de Chicago avait connu le mois passé son bond le plus important en trente ans, et que les nouvelles inscriptions au chômage avaient diminué comme prévu lors de la semaine achevée le 25 octobre.
L'euro a par ailleurs cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,08% pour glisser à 0,8462.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la semaine avec des informations portant leur secteur secondadire, fournies par l'institut de gestion des approvisionnements.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3540 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas depuis le 17 octobre, puis s'est stabilisée vers 1,3560, perdant 0,17%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3480, son plancher du 15 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1,3682, son plafond du 17.
La monnaie unique demeurait en effet fragilisée après qu'il ait été montré hier que l'inflation du bloc l'ayant adoptée avait été le mois passé la plus faible en quatre ans, faisant enfler les bruits affirmant qu'une baisse des taux Banque Centrale Européenne pourrait de nouveau avoir lieu.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a ainsi mesuré 0,7% d'augmentation des prix au détail pour octobre, la plus minime depuis novembre 2009, constituant un coup de frein par rapport aux 1,1% ayant précédé.
Il était aussi à noter que le chômage de la région s'était maintenu à 12,2% en septembre, son plus haut niveau de tous les temps.
Une série de chiffres positifs américain a par contre dans le même temps requinqué le billet vert, signalant que l'activité manufacturière dans la région de Chicago avait connu le mois passé son bond le plus important en trente ans, et que les nouvelles inscriptions au chômage avaient diminué comme prévu lors de la semaine achevée le 25 octobre.
L'euro a par ailleurs cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,08% pour glisser à 0,8462.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la semaine avec des informations portant leur secteur secondadire, fournies par l'institut de gestion des approvisionnements.