Investing.com - L'euro a connu un regain de résistance face au dollar U.S. ce mardi après-midi, se maintenant au-dessus du seuil critique des 1.3, l'angoisse que les incertitudes politiques en Grèce et en France ne déclenchent une aggravation de la crise de la dette régionale continuant à le mettre à mal.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3001 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3025, trébuchant de 0.2%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2954, son plancher de trois mosi datant d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.3079, son plafond de vendredi.
Les dirigeants politiques grecs continuaient à tenir des négociations entre les formations, dans l'angoisse que le pays n'ait pas d'autorités en place à temps pour l'attribution le mois prochain de sa prochaine tranche d'aides internationales, de nouvelles élections semblant être de plus en plus probables.
Le parti de la Nouvelle Démocratie, premier du pays, n'a en effet pas réussi hier à former une coalition.
La nervosité restait de mise avec la France en ligne de mire, où le socialiste François Hollande, président nouvellement élu, a déclaré vouloir renégocier le pacte fiscal de la zone euro afin d'y stimuler la croissance.
La monnaie unique a repris du poil de la bête avec les résultats officiels montrant que la production industrielle allemande avait bondi de 2.8% en mars, dépassant largement les 0.8% attendus, après avoir subi trois mois de disette.
Le ministre de l'économie du pays a d'ailleurs déclaré que "les perspectives du secteur secondaire ont nettement progressé".
La devise européenne restait dangereusement proche de son ornière de trois ans et demi par rapport à la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0.05% pour se hisser à 0.8065, et se retrouvant aux abords d'un creux de deux mois et demi contre le yen, l'EUR/JPY glissant de 0.36% vers 103.88.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devrait quand à lui prendre dans l'après-midi la parole à Francfort.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3001 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3025, trébuchant de 0.2%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2954, son plancher de trois mosi datant d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.3079, son plafond de vendredi.
Les dirigeants politiques grecs continuaient à tenir des négociations entre les formations, dans l'angoisse que le pays n'ait pas d'autorités en place à temps pour l'attribution le mois prochain de sa prochaine tranche d'aides internationales, de nouvelles élections semblant être de plus en plus probables.
Le parti de la Nouvelle Démocratie, premier du pays, n'a en effet pas réussi hier à former une coalition.
La nervosité restait de mise avec la France en ligne de mire, où le socialiste François Hollande, président nouvellement élu, a déclaré vouloir renégocier le pacte fiscal de la zone euro afin d'y stimuler la croissance.
La monnaie unique a repris du poil de la bête avec les résultats officiels montrant que la production industrielle allemande avait bondi de 2.8% en mars, dépassant largement les 0.8% attendus, après avoir subi trois mois de disette.
Le ministre de l'économie du pays a d'ailleurs déclaré que "les perspectives du secteur secondaire ont nettement progressé".
La devise européenne restait dangereusement proche de son ornière de trois ans et demi par rapport à la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0.05% pour se hisser à 0.8065, et se retrouvant aux abords d'un creux de deux mois et demi contre le yen, l'EUR/JPY glissant de 0.36% vers 103.88.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devrait quand à lui prendre dans l'après-midi la parole à Francfort.