Investing.com - L'euro a laissé le dollar U.S. prendre l'avantage ce mardi matin, les valeurs refuge profitant de la crainte que les Etats-Unis interviennent militairement contre le gouvernement syrien.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3356 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3360, perdant 0,08%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3334, son plancher du 21 août, et de rencontrer de la résistance à 1,3408, son plafond du 23.
Le billet vert a en effet repris des couleurs après que le secrétaire d'état américain John Kerry ait déclaré que le président Obama mettrait le gouvernement de Damas devant ses responsabilités en cas d'usage d'armes chimiques.
Les incertitudes persistantes concernant le moment où la banque centrale des Etats-Unis diminuera l'ampleur de ses coups de pouce se sont intensifiées après qu'il ait été montré hier que les commandes de biens durables y avaient dégringolé le mois passé, laissant redouter un passage à vide de de la demande nationale.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a en effet déploré pour elles 7,3% de moins pour juillet, dépassant largement les 4% déjà redoutés, et constituant du même coup leur pire déconvenue depuis août 2012.
Il avait déjà enregistré vendredi sans crier gare 13,4% de transactions de moins sur des biens immobiliers fraîchement construits pour le mois passé, leur pire revers en plus de trois ans.
La monnaie unique a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,04% pour se hisser à 0,8589, mais a laissé la main au yen, traditionnellement plus sûr, l'EUR/JPY dérapant de 0,41% pour glisser à 131,14.
L'institut Ifo pour la recherche économique comptait pour sa part publier aujourd'hui une étude sur l'humeur des entreprises allemandes, après quoi les acteurs de l'immobilier américain feront de même concernant l'évolution des coûts des logements, après quoi seront divulgués les chiffres cruciaux concernant la confiance des consommateurs du pays.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3356 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3360, perdant 0,08%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3334, son plancher du 21 août, et de rencontrer de la résistance à 1,3408, son plafond du 23.
Le billet vert a en effet repris des couleurs après que le secrétaire d'état américain John Kerry ait déclaré que le président Obama mettrait le gouvernement de Damas devant ses responsabilités en cas d'usage d'armes chimiques.
Les incertitudes persistantes concernant le moment où la banque centrale des Etats-Unis diminuera l'ampleur de ses coups de pouce se sont intensifiées après qu'il ait été montré hier que les commandes de biens durables y avaient dégringolé le mois passé, laissant redouter un passage à vide de de la demande nationale.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a en effet déploré pour elles 7,3% de moins pour juillet, dépassant largement les 4% déjà redoutés, et constituant du même coup leur pire déconvenue depuis août 2012.
Il avait déjà enregistré vendredi sans crier gare 13,4% de transactions de moins sur des biens immobiliers fraîchement construits pour le mois passé, leur pire revers en plus de trois ans.
La monnaie unique a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,04% pour se hisser à 0,8589, mais a laissé la main au yen, traditionnellement plus sûr, l'EUR/JPY dérapant de 0,41% pour glisser à 131,14.
L'institut Ifo pour la recherche économique comptait pour sa part publier aujourd'hui une étude sur l'humeur des entreprises allemandes, après quoi les acteurs de l'immobilier américain feront de même concernant l'évolution des coûts des logements, après quoi seront divulgués les chiffres cruciaux concernant la confiance des consommateurs du pays.