Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi, l'euro et la livre sterling ayant rebondi sur fond de rumeurs de hausse des taux d'intérêt imminentes.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a toutefois légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD trébchant de 0.05% pour tomber à 1.4217.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.41% pour se hisser à 1.6374.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que les prix à la consommation en Grande-Bretagne avaient davantage augmenté en février que prévu, constituant un pic pour les 28 derniers mois, tandis qu'une autre étude soulignait que les emprunts publics avaient bondi le mois dernier.
Il a aussi subi la pression du yen, l'USD/JPY se laissant grignoter 0.03% pour se retrouver à 80.99.
La Tokyo Electric Power Co., opératrice de la centrale nucléaire endommagée de Fukushima Daiichi, avait précédemment fait savoir que ses employés avaient rétabli le courant dans chacun des 6 réacteurs de celle-ci.
Il en a été de même avec le franc suisse, l'USD/CHF dérapant de 0.14% pour descendre à 0.9031.
Des informations émanant des autorités avaient auparavant indiqué que l'excédent du commerce extérieur helvétique avait dépassé les attentes pour février, et ce malgré l'appréciation de la devise helvétique.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominée sa cousine canadienne, mais pas l'australienne ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.07% pour aller vers 0.9785, l'AUD/USD raflant 0.6% pour grimper à 1.0124 et le NZD/USD engrangeant 0.99% pour culminer à 0.7429.
Une étude gouvernementale avait aujourd'hui indiqué que les ventes au détail du Canada avaient stagné en février de manière inattendue.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, s'est fait rogner 0.02%.
Yoshihiko Noda, ministre des finances japonais, avait par ailleurs déclaré en début de matinée que le G7, regroupant les 7 nations les plus industrialisées, continuerait à coopérer après que l'intervention destinée à juguler l'ascension record du yen de la semaine dernière ait ramené un peu de stabilité sur les marchés.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a toutefois légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD trébchant de 0.05% pour tomber à 1.4217.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.41% pour se hisser à 1.6374.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que les prix à la consommation en Grande-Bretagne avaient davantage augmenté en février que prévu, constituant un pic pour les 28 derniers mois, tandis qu'une autre étude soulignait que les emprunts publics avaient bondi le mois dernier.
Il a aussi subi la pression du yen, l'USD/JPY se laissant grignoter 0.03% pour se retrouver à 80.99.
La Tokyo Electric Power Co., opératrice de la centrale nucléaire endommagée de Fukushima Daiichi, avait précédemment fait savoir que ses employés avaient rétabli le courant dans chacun des 6 réacteurs de celle-ci.
Il en a été de même avec le franc suisse, l'USD/CHF dérapant de 0.14% pour descendre à 0.9031.
Des informations émanant des autorités avaient auparavant indiqué que l'excédent du commerce extérieur helvétique avait dépassé les attentes pour février, et ce malgré l'appréciation de la devise helvétique.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominée sa cousine canadienne, mais pas l'australienne ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.07% pour aller vers 0.9785, l'AUD/USD raflant 0.6% pour grimper à 1.0124 et le NZD/USD engrangeant 0.99% pour culminer à 0.7429.
Une étude gouvernementale avait aujourd'hui indiqué que les ventes au détail du Canada avaient stagné en février de manière inattendue.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, s'est fait rogner 0.02%.
Yoshihiko Noda, ministre des finances japonais, avait par ailleurs déclaré en début de matinée que le G7, regroupant les 7 nations les plus industrialisées, continuerait à coopérer après que l'intervention destinée à juguler l'ascension record du yen de la semaine dernière ait ramené un peu de stabilité sur les marchés.