Investing.com - Le dollar U.S. s'est acheminé vers un sommet des deux mois écoulés face au franc suisse ce mardi, la retour du spectre de la dette grecque ternissant le blason des valeurs audacieuses.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0.9511 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 7 septembre, puis s'est stabilisée vers 0.9494, prenant 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9436, son plancher du 10 septembre, et de rencontrer de la résistance à 0.9559, son plafond du 2 juillet.
Les membres de l'Eurogroupe et le Fonds Monétaire International n'ont en effet pas réussi à se mettre d'accord sur un plan de réduction à long terme des dettes de la Grèce, lui bloquant du même coup l'accès au aides d'urgence.
Ils ont laissé à Athènes jusqu'à 2016 pour réduire son déficit à 20% du produit intérieur brut, mais ont repoussé jusqu'au 20 novembre toute prise de décision concernant une somme qui pourrait atteindre 32.6 milliards d'euros dont elle a besoin, tout en entretenant le flou sur la poursuite de la participation du FMI.
La nervosité restait aussi de mise face au mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant avoir lieu d'ici le premier janvier, et qui pourrait mettre un frein l'expansion économique du pays et donc du monde entier.
Des informations émanant des autorités suisses avaient auparavant fait savoir que les coûts de production nationaux avaient diminué sans crier gare le mois dernier, trébuchant de 0.01% après avoir pourtant grimpé de 0.3% en septembre.
LEs experts pensaient pourtant les voir augmenter de 0.2% pour la période considérée.
La devise helvète n'a par ailleurs presque pas gagné de terrain sur l'euro, l'EUR/CHF trébuchant de 0.05% pour glisser à 1.2046.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde officiel de leur budget fédéral.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0.9511 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 7 septembre, puis s'est stabilisée vers 0.9494, prenant 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9436, son plancher du 10 septembre, et de rencontrer de la résistance à 0.9559, son plafond du 2 juillet.
Les membres de l'Eurogroupe et le Fonds Monétaire International n'ont en effet pas réussi à se mettre d'accord sur un plan de réduction à long terme des dettes de la Grèce, lui bloquant du même coup l'accès au aides d'urgence.
Ils ont laissé à Athènes jusqu'à 2016 pour réduire son déficit à 20% du produit intérieur brut, mais ont repoussé jusqu'au 20 novembre toute prise de décision concernant une somme qui pourrait atteindre 32.6 milliards d'euros dont elle a besoin, tout en entretenant le flou sur la poursuite de la participation du FMI.
La nervosité restait aussi de mise face au mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant avoir lieu d'ici le premier janvier, et qui pourrait mettre un frein l'expansion économique du pays et donc du monde entier.
Des informations émanant des autorités suisses avaient auparavant fait savoir que les coûts de production nationaux avaient diminué sans crier gare le mois dernier, trébuchant de 0.01% après avoir pourtant grimpé de 0.3% en septembre.
LEs experts pensaient pourtant les voir augmenter de 0.2% pour la période considérée.
La devise helvète n'a par ailleurs presque pas gagné de terrain sur l'euro, l'EUR/CHF trébuchant de 0.05% pour glisser à 1.2046.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde officiel de leur budget fédéral.