Investing.com - La livre sterling s'est hissée vers un pic du jour face au dollar U.S. ce lundi, après que des informations aient souligné que l'activité du secteur secondaire avait connu en juin sa plus forte progression en deux ans là où elle a cours.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5246 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5237, gagnant 0,20%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5182, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5345, son plafond du 27 juin.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet fait savoir que son indice portant sur la forme des industries du Royaume-Uni avait bondi depuis 51,5 après révision à la hausse vers 52,5 pour juin.
Les experts pensaient pourtant qu'il stagnerait à 51,5.
Rob Dobson, un des principaux économistes de l'institut, précisait que les chiffres indiquaient que la production manufacturée avait gonflé d'environ 0,5% au second trimestre, laissant espérer une croissance de l'économie passant de 0,3 à au moins 0,5%.
Il a ajouté que ces performances laissaient peu de chances à une augmentation des apports de capitaux de la banque centrale du pays lors de sa prise de cap mensuelle de cette semaine.
Il était aussi à noter que les prêts nets aux particuliers avaient davantage diminué en mai qu'anticipé.
La Banque d'Angleterre a ainsi annoncé que leur volume avait subi une érosion depuis les 1,3 milliards de GBP révisés d'avril jusqu'à 1,0 milliard, alors qu'une poussée jusqu'à 1,4 milliards était pressentie.
Elle a toutefois dénombré 58.000 accords de prêts hypothécaires définitifs sur la même période après les 54.000 précédents, au lieu des 56.000 avancés.
Le billet vert demeurait soutenu par les attentes de réduction des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale, les yeux sur les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, qui pourraient accentuer son mouvement ascendant.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,01% pour descendre à 0,8554.
Les autorités européennes ont dévoilé aujourd'hui le taux de chômage de la région et l'évolution de ses prix à la consommation, après quoi l'institut de gestion des approvisionnements comptait rendre un rapport sur l'activité manufacturière des Etats-Unis.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5246 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5237, gagnant 0,20%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5182, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5345, son plafond du 27 juin.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet fait savoir que son indice portant sur la forme des industries du Royaume-Uni avait bondi depuis 51,5 après révision à la hausse vers 52,5 pour juin.
Les experts pensaient pourtant qu'il stagnerait à 51,5.
Rob Dobson, un des principaux économistes de l'institut, précisait que les chiffres indiquaient que la production manufacturée avait gonflé d'environ 0,5% au second trimestre, laissant espérer une croissance de l'économie passant de 0,3 à au moins 0,5%.
Il a ajouté que ces performances laissaient peu de chances à une augmentation des apports de capitaux de la banque centrale du pays lors de sa prise de cap mensuelle de cette semaine.
Il était aussi à noter que les prêts nets aux particuliers avaient davantage diminué en mai qu'anticipé.
La Banque d'Angleterre a ainsi annoncé que leur volume avait subi une érosion depuis les 1,3 milliards de GBP révisés d'avril jusqu'à 1,0 milliard, alors qu'une poussée jusqu'à 1,4 milliards était pressentie.
Elle a toutefois dénombré 58.000 accords de prêts hypothécaires définitifs sur la même période après les 54.000 précédents, au lieu des 56.000 avancés.
Le billet vert demeurait soutenu par les attentes de réduction des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale, les yeux sur les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, qui pourraient accentuer son mouvement ascendant.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,01% pour descendre à 0,8554.
Les autorités européennes ont dévoilé aujourd'hui le taux de chômage de la région et l'évolution de ses prix à la consommation, après quoi l'institut de gestion des approvisionnements comptait rendre un rapport sur l'activité manufacturière des Etats-Unis.