Investing.com - Les options sur le brut ont fléchi ce vendredi, les yeux étant rivés sur le rapport concernant le marché du travail aux Etats-Unis, l'ambiance restant assombrie par les propos de Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 86.03 USD le baril en seconde partie de séance européenne, perdant 0.24%.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait déjà annoncé hier que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine achevée le premier décembre s'était réduit de 25 000 unités pour chuter sans crier gare à 370 000 après ajustement saisonnier, alors qu'une réduction de 15 000 pour l'amener à 380 000 était pressentie.
Le président Barack Obama avait aussi rassuré mercredi, estimant que si ses adversaires républicains voulaient bien accepter d'augmenter les prélèvements des contribuables qui en avaient le plus les moyens, un accord devrait mettre "à peu près une semaine" pour être mis en place et ainsi contourner le mur fiscal.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Mais la frilosité menaçait après que le chef de la BCE ait rappelé hier que les incertitudes sur les perspectives étaient orientées à la baisse.
Les décideurs craignent désormais de voir l'économie de la zone euro subir un revers se situant entre 0.4 et 0.6% cette année, et de 0.3 à 0.9% pour la prochaine.
La première autorité monétaire européenne avait pourtant espéré en septembre que 2013 verrait une hésitation entre une croissance de 1.4% et un repli de 0.4%.
L'intervention de M. Draghi survenait après que les taux BCE aient été maintenus sans surprise à 0.75%, leur plus faible valeur historique.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont grignoté 0.13% pour grimper à 107.14 USD du baril dans le même temps, soit 21.11 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 86.03 USD le baril en seconde partie de séance européenne, perdant 0.24%.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait déjà annoncé hier que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine achevée le premier décembre s'était réduit de 25 000 unités pour chuter sans crier gare à 370 000 après ajustement saisonnier, alors qu'une réduction de 15 000 pour l'amener à 380 000 était pressentie.
Le président Barack Obama avait aussi rassuré mercredi, estimant que si ses adversaires républicains voulaient bien accepter d'augmenter les prélèvements des contribuables qui en avaient le plus les moyens, un accord devrait mettre "à peu près une semaine" pour être mis en place et ainsi contourner le mur fiscal.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Mais la frilosité menaçait après que le chef de la BCE ait rappelé hier que les incertitudes sur les perspectives étaient orientées à la baisse.
Les décideurs craignent désormais de voir l'économie de la zone euro subir un revers se situant entre 0.4 et 0.6% cette année, et de 0.3 à 0.9% pour la prochaine.
La première autorité monétaire européenne avait pourtant espéré en septembre que 2013 verrait une hésitation entre une croissance de 1.4% et un repli de 0.4%.
L'intervention de M. Draghi survenait après que les taux BCE aient été maintenus sans surprise à 0.75%, leur plus faible valeur historique.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont grignoté 0.13% pour grimper à 107.14 USD du baril dans le même temps, soit 21.11 USD de mieux que leurs homologues américaines.