Investing.com - L'euro a rattrapé une partie de son retard face au dollar U.S. ce lundi, s'extirpant d'un creux de près d'un mois, demeurant cependant sous la pression des bons résultats de l'emploi américain et des craintes concernant la Grèce.
La paire EUR/USD est remontée depuis 1.3079, son cours le plus bas depuis le 16 février, jusqu'à 1.3104 en fin de séance asiatique, perdant tout de même 0.14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3043, son plancher du 15 février, et de rencontrer de la résistance à 1.324, son plafond du 5 mars.
La monnaie unique a en effet plongé vendredi de plus de 1% contre le billet vert, après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait annoncé que le pays avait créé 227 000 emplois en février, dépassant les 210 000 espérés, le taux de chômage demeurant stabilisé à 8.3%, son plus bas niveau en trois ans.
Ces chiffres encourageants ont stimulé le billet vert, en réduisant l'espérance d'une nouvelle série d'achats d'actifs de la part de la banque centrale américaine, destinée à relancer la croissance économique.
La devise européenne s'était retrouvée sur la sellette après que l'Association Internationale des Swaps et Dérivés ISDA ait finalement affirmé que la substitution des bons du trésor grecs constituait un "évènement de crédit" qui activerait les couvertures de défaillance destinées à protéger les investisseurs contre des pertes dûes aux obligations hellènes.
Elle a par ailleurs perdu du terrain sur la livre sterling et le yen, l'EUR/GBP glissant de 0.2% pour tomber à 0.8354 et l'EUR/JPY dérapant de 0.41% pour chuter à 107.78.
Les ministres des finances du bloc euro tiendront aujourd'hui des pourparlers à Bruxelles afin de donner leur accord final aux 130 milliards d'euros du plan de secours à la Grèce.
L'Espagne risque aussi d'petre à l'ordre du jour, Mariano Rajoy, son premiere ministre, ayant annoncé en début de mois que les déficits publics ne seraient ramenés cette année qu'à 5.8% du produit intérieur brut, au lieu des 4.4% prévus.
La paire EUR/USD est remontée depuis 1.3079, son cours le plus bas depuis le 16 février, jusqu'à 1.3104 en fin de séance asiatique, perdant tout de même 0.14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3043, son plancher du 15 février, et de rencontrer de la résistance à 1.324, son plafond du 5 mars.
La monnaie unique a en effet plongé vendredi de plus de 1% contre le billet vert, après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait annoncé que le pays avait créé 227 000 emplois en février, dépassant les 210 000 espérés, le taux de chômage demeurant stabilisé à 8.3%, son plus bas niveau en trois ans.
Ces chiffres encourageants ont stimulé le billet vert, en réduisant l'espérance d'une nouvelle série d'achats d'actifs de la part de la banque centrale américaine, destinée à relancer la croissance économique.
La devise européenne s'était retrouvée sur la sellette après que l'Association Internationale des Swaps et Dérivés ISDA ait finalement affirmé que la substitution des bons du trésor grecs constituait un "évènement de crédit" qui activerait les couvertures de défaillance destinées à protéger les investisseurs contre des pertes dûes aux obligations hellènes.
Elle a par ailleurs perdu du terrain sur la livre sterling et le yen, l'EUR/GBP glissant de 0.2% pour tomber à 0.8354 et l'EUR/JPY dérapant de 0.41% pour chuter à 107.78.
Les ministres des finances du bloc euro tiendront aujourd'hui des pourparlers à Bruxelles afin de donner leur accord final aux 130 milliards d'euros du plan de secours à la Grèce.
L'Espagne risque aussi d'petre à l'ordre du jour, Mariano Rajoy, son premiere ministre, ayant annoncé en début de mois que les déficits publics ne seraient ramenés cette année qu'à 5.8% du produit intérieur brut, au lieu des 4.4% prévus.