Investing.com - L'euro a laissé la main au dollar U.S. ce lundi matin, son adversaire profitant toujours des bruits savamment distillés concernant une éventuelle diminution des coups de pouce de son émettrice.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3321 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3323, trébuchant de 0,03%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3250, son plancher psychologique suivant, et de rencontrer de la résistance à 1,3392, son plafond de jeudi.
Les observateurs guettaient pour après-demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la banque centrale des Etats-Unis, en quête d'indices sur le moent où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rechats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six mois.
Mais la monnaie unique demeurait en même temps soutenu au-dessus des 1,3300, après qu'il ait été montré que la croissance du bloc l'ayant adoptée avait sorti la tête de l'eau, après 18 mois de vaches maigres.
Elle a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP laissant échapper 0,01% pour glisser à 0,8530, et fait mieux contre le yen, l'EUR/JPY grignotant 0,06% pour se hisser à 130,15.
Le Japon a pour sa part enregistré à l'aube un déficit de sa balance commerciale de 1,024 billions de JPY, dépassant ainsi les craintes pour juillet, les exportations bondissant de 12,2% d'une année sur l'autre grâce à l'affaiblissement du yen, et les importations de 19,6% sur la même période.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3321 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3323, trébuchant de 0,03%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3250, son plancher psychologique suivant, et de rencontrer de la résistance à 1,3392, son plafond de jeudi.
Les observateurs guettaient pour après-demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la banque centrale des Etats-Unis, en quête d'indices sur le moent où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rechats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six mois.
Mais la monnaie unique demeurait en même temps soutenu au-dessus des 1,3300, après qu'il ait été montré que la croissance du bloc l'ayant adoptée avait sorti la tête de l'eau, après 18 mois de vaches maigres.
Elle a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP laissant échapper 0,01% pour glisser à 0,8530, et fait mieux contre le yen, l'EUR/JPY grignotant 0,06% pour se hisser à 130,15.
Le Japon a pour sa part enregistré à l'aube un déficit de sa balance commerciale de 1,024 billions de JPY, dépassant ainsi les craintes pour juillet, les exportations bondissant de 12,2% d'une année sur l'autre grâce à l'affaiblissement du yen, et les importations de 19,6% sur la même période.