Investing.com - Le dollar U.S. s'échangeait aux alentours d'un pic des quatre derniers mois face au franc suisse ce lundi, les craintes concernant la crise de la dette souveraine de la zone euro augmentant son attrait après que l'intervention effectuée la semaine dernière par la Banque Nationale Suisse ait réussi à affaiblir sa devise.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.8927 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 16 mars, puis s'est stabilisée vers 0.8853, prenant 0.22%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8705, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à court terme à 0.901, son plafond du 20 avril.
La monnaie unique avait été mise à mal par les rumeurs propagées par les médias selon lesquelles le gouvernement allemand aurait prévu d'isoler son secteur bancaire au cas où la Grèce se trouverait acculée au défaut de paiement.
Le ministre adjoint aux finances grec a déclaré ce matin que le pays disposait d'assez de liquidités pour fonctionner jusqu'au mois prochain.
La démission de Juergen Stark, un membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, imputée a de possibles désaccords concernant les achats de bons de part de celle-ci, avait mis quand à elle en relief les dissensions entre plus hauts décideurs concernant la manière d'aborder le problème.
La banque centrale helvétique a en effet établi la semaine dernière un taux de change plancher de 1.2 CHF par euro, après qu'un mois de campagne destinée à affaiblir la monnaie nationale ait échoué à repoussé les investisseurs en quête de valeurs sûres, en raison de l'aggravation des angoisses concernant les perspectives économiques mondiales.
Le swissy s'est d'ailleurs rapproché du taux en question, l'EUR/CHF trébuchant de 0.17% pour glisser à 1.2044.
Angela Merkel, la chancelière allemande, devrait pour sa part discuter en cours de journée avec Jose Manuel Barroso, président de la commission européenne, des difficultés liées au surendettement de la zone euro.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.8927 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 16 mars, puis s'est stabilisée vers 0.8853, prenant 0.22%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8705, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à court terme à 0.901, son plafond du 20 avril.
La monnaie unique avait été mise à mal par les rumeurs propagées par les médias selon lesquelles le gouvernement allemand aurait prévu d'isoler son secteur bancaire au cas où la Grèce se trouverait acculée au défaut de paiement.
Le ministre adjoint aux finances grec a déclaré ce matin que le pays disposait d'assez de liquidités pour fonctionner jusqu'au mois prochain.
La démission de Juergen Stark, un membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, imputée a de possibles désaccords concernant les achats de bons de part de celle-ci, avait mis quand à elle en relief les dissensions entre plus hauts décideurs concernant la manière d'aborder le problème.
La banque centrale helvétique a en effet établi la semaine dernière un taux de change plancher de 1.2 CHF par euro, après qu'un mois de campagne destinée à affaiblir la monnaie nationale ait échoué à repoussé les investisseurs en quête de valeurs sûres, en raison de l'aggravation des angoisses concernant les perspectives économiques mondiales.
Le swissy s'est d'ailleurs rapproché du taux en question, l'EUR/CHF trébuchant de 0.17% pour glisser à 1.2044.
Angela Merkel, la chancelière allemande, devrait pour sa part discuter en cours de journée avec Jose Manuel Barroso, président de la commission européenne, des difficultés liées au surendettement de la zone euro.