Investing.com - La livre sterling n'a presque pas baissé la tête face au dollar U.S. ce mardi après-midi, les volumes demeurant faibles sur fond d'attentes de poursuite des aides de l'émettrice de son adversaire et de perspectives d'expansion économique planétaires peu réjouissantes pour 2014.
La paire GBP/USD est descendue des 1,6108 d'hier jusqu'à 1,6100 en seconde partie de séance européenne, laissant échapper 0,05%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,6047, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,6147, son plafond de trois semaines établi hier.
L'ambiance s'est en effet assombrie après que l'Organisation de Coopération et de Développement Economiques ait raboté ses prédictions de croissance mondiales établies en mai à 3,1% pour cette année et 4% pour la prochaine à respectivement 2,7 et 3,6%, pointant du doigt une détérioration de la situation des pays émergents.
Mais la devise de la Grande-Bretagne en a profité, la situation britannique laissant davantage de place à l'optimisme, les poussées de 0,8 et 1,5% qui avaient précédemment été pressenties voyant leurs ampleurs augmenter à 1,4 et 2,4%.
Il était précisé: "Le rapport d'aujourd'hui soulignne aussi la persistance des risques de perte de vitesse, encourageant le gouvernement à poursuivre sur sa lancée en encourageant l'économie, en réduisant les déficits, et en créant des emplois tout en luttant contre une inflation importante."
Le billet vert était pour sa part cantoné sur la défensive après que Janet Yellen, qui sera bientôt à la tête de la Réserve Fédérale, ait rappelé la semaine passée que ses apports de capitaux demeuraient indispensables pour consolider la relance.
Le procès-verbal de la plus récente prise de cap du comité fédéral des marchés ouverts, dont la publication aura lieu demain, de même qu'un discours de Ben Bernanke, actuellement à sa tête, seront au centre des débats de la semaine, en quête d'indices sur les orientations monétaires futures.
La devise de la Grande-Bretagne n'a par ailleurs cédé que quelques centimètres de terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0,02% pour se hisser à 0,8385.
La monnaie unique n'a guère fait cas du renouvellement de la confiance dans la locomotive régionale à son meilleur niveau en quatre ans.
Le centre de recherches économiques ZEW avait auparavant fait savoir que son baromètre du moral économique allemand avait accumulé 1,8 points pour passer de 52,8 à 54,6 pour novembre, au lieu des 54,0 envisagés.
La paire GBP/USD est descendue des 1,6108 d'hier jusqu'à 1,6100 en seconde partie de séance européenne, laissant échapper 0,05%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,6047, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,6147, son plafond de trois semaines établi hier.
L'ambiance s'est en effet assombrie après que l'Organisation de Coopération et de Développement Economiques ait raboté ses prédictions de croissance mondiales établies en mai à 3,1% pour cette année et 4% pour la prochaine à respectivement 2,7 et 3,6%, pointant du doigt une détérioration de la situation des pays émergents.
Mais la devise de la Grande-Bretagne en a profité, la situation britannique laissant davantage de place à l'optimisme, les poussées de 0,8 et 1,5% qui avaient précédemment été pressenties voyant leurs ampleurs augmenter à 1,4 et 2,4%.
Il était précisé: "Le rapport d'aujourd'hui soulignne aussi la persistance des risques de perte de vitesse, encourageant le gouvernement à poursuivre sur sa lancée en encourageant l'économie, en réduisant les déficits, et en créant des emplois tout en luttant contre une inflation importante."
Le billet vert était pour sa part cantoné sur la défensive après que Janet Yellen, qui sera bientôt à la tête de la Réserve Fédérale, ait rappelé la semaine passée que ses apports de capitaux demeuraient indispensables pour consolider la relance.
Le procès-verbal de la plus récente prise de cap du comité fédéral des marchés ouverts, dont la publication aura lieu demain, de même qu'un discours de Ben Bernanke, actuellement à sa tête, seront au centre des débats de la semaine, en quête d'indices sur les orientations monétaires futures.
La devise de la Grande-Bretagne n'a par ailleurs cédé que quelques centimètres de terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0,02% pour se hisser à 0,8385.
La monnaie unique n'a guère fait cas du renouvellement de la confiance dans la locomotive régionale à son meilleur niveau en quatre ans.
Le centre de recherches économiques ZEW avait auparavant fait savoir que son baromètre du moral économique allemand avait accumulé 1,8 points pour passer de 52,8 à 54,6 pour novembre, au lieu des 54,0 envisagés.