Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à presque tous ses concurrents ce jeudi, après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, n'ait donné aucun signe d'un durcissement de la politique monétaire de la banque centrale dans un futur proche.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.31% pour grimper à 1.4833.
Lors de sa première conférence de presse explicative d'après-réunion, M. Bernanke a déclaré que la banque centrale, dont les taux d'intérêt sont restés inchangés, "mènera à bien" son programme d'achats d'actifs à hauteur de 600 milliards d'USD d'ici à la fin juin et maintiendra ses taux à leur plus faible niveau historique pour une "période prolongée", ajoutant qu'il n'y avait aucun calendrier établi concernant un éventuel durcissement.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.35% pour se hisser à 1.6684.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.65% pour se retrouver à 81.6 et l'USD/CHF glissant de 0.23% pour tomber à 0.8724.
La Banque du Japon avait elle aussi gardé sans surprise le cap de sa politique monétaire mercredi.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.21% pour aller vers 0.947, l'AUD/USD raflant 0.48% pour monter à 1.0924 et le NZD/USD dérapant de 0.48% pour toucher le fond à 0.804.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait annoncé en début de matinée le maintien de son taux d'intérêt directeur à 2.5%, son plus faible niveau de tous les temps, et qualifié la hausse de sa monnaie de "malvenue".
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.34%.
Les Etats-Unis devraient quand à eux faire connaître en cours de journée des informations partielles sur leur produit intérieur brut, ainsi que le nombre officiel de leurs nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.31% pour grimper à 1.4833.
Lors de sa première conférence de presse explicative d'après-réunion, M. Bernanke a déclaré que la banque centrale, dont les taux d'intérêt sont restés inchangés, "mènera à bien" son programme d'achats d'actifs à hauteur de 600 milliards d'USD d'ici à la fin juin et maintiendra ses taux à leur plus faible niveau historique pour une "période prolongée", ajoutant qu'il n'y avait aucun calendrier établi concernant un éventuel durcissement.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.35% pour se hisser à 1.6684.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.65% pour se retrouver à 81.6 et l'USD/CHF glissant de 0.23% pour tomber à 0.8724.
La Banque du Japon avait elle aussi gardé sans surprise le cap de sa politique monétaire mercredi.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.21% pour aller vers 0.947, l'AUD/USD raflant 0.48% pour monter à 1.0924 et le NZD/USD dérapant de 0.48% pour toucher le fond à 0.804.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait annoncé en début de matinée le maintien de son taux d'intérêt directeur à 2.5%, son plus faible niveau de tous les temps, et qualifié la hausse de sa monnaie de "malvenue".
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.34%.
Les Etats-Unis devraient quand à eux faire connaître en cours de journée des informations partielles sur leur produit intérieur brut, ainsi que le nombre officiel de leurs nouvelles inscriptions au chômage.