Investing.com - Les options sur le brut étaient en léger repli ce lundi, la prudence restant de mise à l'approche des réunions des principales banques centrales de cette semaine, sur fond de rumeurs de nouveaux accomodements.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 90.08 USD le baril en première partie de séance européenne, trébuchant de 0.07%.
Aux Etats-Unis, des informations préliminaires montrant vendredi que la croissance économique avait été conforme aux attentes pour le second trimestre ont tempéré l'attente d'une nouvelle série d'assouplissements de la part de la Réserve Fédérale lors de sa réunion de la semaine prochaine.
Le département d'état au commerce a déclaré que le produit intérieur brut avait gagné 1.5% d'avril à juin, contre 2% après révision à la hausse pour les trois mois précédents.
Il est généralement considéré que les signes de mollissement de la croissance augmentant les chances pour que la Fed mette en place des injections de capitaux afin de lui donner un coup de fouet.
Les Etats-Unis gardent leur première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Les résultats de la réunion de la Banque Centrale Européenne de jeudi sont quand à eux d'autant plus attendus que Mario Draghi, son président, s'est engagé la semaine dernière à défendre l'euro par tous les moyens nécessaires.
Ces propos ont contribué à renforcer l'espoir de nouvelles mesures ayant pour but d'enfin juguler la longue crise de la zone euro, malgré un manque de détails concrets.
Les prix demeuraient tirés vers le haut par les tensions persistantes tiraillant le Moyen-Orient, les combats se poursuivant en Syrie, et menaçant de s'étendre aux pays voisins, parmi lesquels se trouvent des producteurs majeurs d'or noir.
Timothy Geithner, sécrétaire d'état au trésor des Etats-Unis, comptait de son côté rencontrer aujourd'hui Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, ainsi que Mario Draghi afin d'évoquer l'économie mondiale.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont fondu de 0.51% pour glisser à 105.92 USD du baril dans le même temps, soit 15.84 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 90.08 USD le baril en première partie de séance européenne, trébuchant de 0.07%.
Aux Etats-Unis, des informations préliminaires montrant vendredi que la croissance économique avait été conforme aux attentes pour le second trimestre ont tempéré l'attente d'une nouvelle série d'assouplissements de la part de la Réserve Fédérale lors de sa réunion de la semaine prochaine.
Le département d'état au commerce a déclaré que le produit intérieur brut avait gagné 1.5% d'avril à juin, contre 2% après révision à la hausse pour les trois mois précédents.
Il est généralement considéré que les signes de mollissement de la croissance augmentant les chances pour que la Fed mette en place des injections de capitaux afin de lui donner un coup de fouet.
Les Etats-Unis gardent leur première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Les résultats de la réunion de la Banque Centrale Européenne de jeudi sont quand à eux d'autant plus attendus que Mario Draghi, son président, s'est engagé la semaine dernière à défendre l'euro par tous les moyens nécessaires.
Ces propos ont contribué à renforcer l'espoir de nouvelles mesures ayant pour but d'enfin juguler la longue crise de la zone euro, malgré un manque de détails concrets.
Les prix demeuraient tirés vers le haut par les tensions persistantes tiraillant le Moyen-Orient, les combats se poursuivant en Syrie, et menaçant de s'étendre aux pays voisins, parmi lesquels se trouvent des producteurs majeurs d'or noir.
Timothy Geithner, sécrétaire d'état au trésor des Etats-Unis, comptait de son côté rencontrer aujourd'hui Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, ainsi que Mario Draghi afin d'évoquer l'économie mondiale.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont fondu de 0.51% pour glisser à 105.92 USD du baril dans le même temps, soit 15.84 USD de mieux que leurs homologues américaines.