Investing.com - L'euro a poursuivi sa dégringolade face au dollar U.S. ce lundi, s'effondrant de plus de 1% alors que les représentants européens semblaient divisés sur la démarche à adopter pour éviter une contamination de la zone euro par la crise de la dette souveraine.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3251 en première partie de séance européenne, son nouveau creux du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3253, perdant 1.2%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.3192, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.3632, son plafond du 23 novembre.
Didier Reynders, ministre des finances belge, avait affirmé vendredi que le fonds de secours européen à hauteur de 750 milliards d'euros devrait être étendu, se démarquant de la chancelière allemande Angela Merkel et du président français Nicolas Sarkozy, ayant refusé d'empruter cette voie le mois dernier.
Ses homologues de toute la zone euro doivent se réunir à Bruxelles dans la journée afin d'envisager le futur du Portugal, qui a des difficultés à étouffer les rumeurs courant sur son éventuel besoin d'aide.
La monnaie unique européenne a aussi cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP dérapant de 0.52% pour tomber à 0.8461.
Lors de l'émission télévisée "60 Minutes" diffusée dimanche sur CBS, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a d'autre part affirmé que le rythme des inscriptions au chômage pourrait mettre entre 4 et 5 ans pour retomber à un niveau plus normal mais que l'économie du pays avait peu de chances de tomber à nouveau en récession.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3251 en première partie de séance européenne, son nouveau creux du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3253, perdant 1.2%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.3192, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.3632, son plafond du 23 novembre.
Didier Reynders, ministre des finances belge, avait affirmé vendredi que le fonds de secours européen à hauteur de 750 milliards d'euros devrait être étendu, se démarquant de la chancelière allemande Angela Merkel et du président français Nicolas Sarkozy, ayant refusé d'empruter cette voie le mois dernier.
Ses homologues de toute la zone euro doivent se réunir à Bruxelles dans la journée afin d'envisager le futur du Portugal, qui a des difficultés à étouffer les rumeurs courant sur son éventuel besoin d'aide.
La monnaie unique européenne a aussi cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP dérapant de 0.52% pour tomber à 0.8461.
Lors de l'émission télévisée "60 Minutes" diffusée dimanche sur CBS, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a d'autre part affirmé que le rythme des inscriptions au chômage pourrait mettre entre 4 et 5 ans pour retomber à un niveau plus normal mais que l'économie du pays avait peu de chances de tomber à nouveau en récession.