Investing.com - Les options sur le brut étaient nettement à la baisse ce lundi, plombées par un dollar U.S. largement renforcé et la crainte d'un ralentissement de la demande de la part de la Chine, second consommateur mondial.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 98.17 USD le baril en première partie de séance européenne, plongeant de 1.8%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 97.65 USD, avec 2.25% de fléchissement, leur cours le plus bas du jour.
L'euro s'est en effet effondré vers son pire niveau des dix dernières semaines après que l'agence Fitch ait dégradé vendredi de trois crans sa notation monétaire de la Grèce, tandis que sa concurrente Standard & Poor's évoquait le risque d'un sort similaire pour l'Italie.
La nouvelle selon laquelle Jose Luis Rodriguez Zapatero, le premier ministre espagnol, avait mené son parti socialiste à sa pire défaite en plus de trente ans lors des élections locales de la fin de semaine a par ailleurs entraîné des interrogations sur la façon dont le pays abordera le problème de ses créances.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.72% de son côté pour se situer à 76.33, après avoir auparavant culminé à 76.39, son pic des sept dernières semaines.
Le dollar fort diminue la demande de matériaux bruts en tant qu'investissement alternatif, les matières premières aux prix libellés avec celui-ci étant rendues plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises.
L'évaluation préliminaire de l'indice Markit/HSBC des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois dévoilée aujourd'hui est pour sa part tombée à 51.1 pour mai, sa plus piètre performance en dix mois, contre 51.8 définitifs en avril.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde, l'Agence Internationale de l'Energie estimant qu'elle devrait être responsable d'environ 40% de la hausse de la demande globale en 2011.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour juillet ont laissé échapper 1.85% pour couler à 110.28 USD du baril dans le même temps, soit 12.11 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 98.17 USD le baril en première partie de séance européenne, plongeant de 1.8%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 97.65 USD, avec 2.25% de fléchissement, leur cours le plus bas du jour.
L'euro s'est en effet effondré vers son pire niveau des dix dernières semaines après que l'agence Fitch ait dégradé vendredi de trois crans sa notation monétaire de la Grèce, tandis que sa concurrente Standard & Poor's évoquait le risque d'un sort similaire pour l'Italie.
La nouvelle selon laquelle Jose Luis Rodriguez Zapatero, le premier ministre espagnol, avait mené son parti socialiste à sa pire défaite en plus de trente ans lors des élections locales de la fin de semaine a par ailleurs entraîné des interrogations sur la façon dont le pays abordera le problème de ses créances.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.72% de son côté pour se situer à 76.33, après avoir auparavant culminé à 76.39, son pic des sept dernières semaines.
Le dollar fort diminue la demande de matériaux bruts en tant qu'investissement alternatif, les matières premières aux prix libellés avec celui-ci étant rendues plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises.
L'évaluation préliminaire de l'indice Markit/HSBC des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois dévoilée aujourd'hui est pour sa part tombée à 51.1 pour mai, sa plus piètre performance en dix mois, contre 51.8 définitifs en avril.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde, l'Agence Internationale de l'Energie estimant qu'elle devrait être responsable d'environ 40% de la hausse de la demande globale en 2011.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour juillet ont laissé échapper 1.85% pour couler à 110.28 USD du baril dans le même temps, soit 12.11 USD de mieux que leurs homologues américaines.