Investing.com - Les bourses européennes étaient plutôt mitigées ce mercredi, alors que persistaient les craintes concernant la gestion de la crise de la dette espagnole, nuisant ainsi à la confiance des investisseurs.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a ainsi régressé de 0.36%, le CAC 40 français de 0.33%, et le DAX 30 allemand de 0.14%.
Les enchères très attendues de dettes espagnoles à court terme d'hier ont légèrement rassuré en remplissant les objectifs d'émission de 3 milliards d'euros en bons du trésor, mais leurs frais ont presque doublé.
Les observateurs demeuraient toutefois inquiets que le gouvernement du pays ne parvienne pas à réaliser les réductions de déficits escomptées alors que flotte le spectre de la récession et puisse devoir avoir recours à un plan de sauvetage, contribuant à assombrir l'atmosphère.
Le moral se trouvait aussi affaibli par les résultats américains en demi-teinte d'hier, ayant échoué à constituer une image rassurante de la relance nationale.
La finance était elle aussi en demi-teinte, le français BNP Paribas prenant 0.61% et l'ING groep nééerlandais 0.57% tandis que leur collègue allemand Deutsche Bank laissait échapper 0.25%.
Le groupe pétrolier espagnol Repsol a pour sa part plongé de 1.92% après que l'Argentine ait rejeté son exigence d'une compensation de 10.5 milliards d'USD suite à la saisie par la présidente Cristina Fernandez de Kirchner de sa branche YPF SA, justifiée par le manque d'investissements effectués dans un des plus grands pays d'Amérique du Sud.
Concernant le reste du domaine énergétique, Statoil ASA, premier producteur d'or noir norvégien, a par contre engrangé 2.38% suite à l'annonce de son feu vert pour la vente des 54% qu'il détient dans Statoil Fuel & Retail.
Le brasseur Heineken a également contribué à tirer les marchés vrs le haut avec un bond de 3.88% après avoir enregistré 3.83 milliards d'euros de rentrées au premier trimestre, dépassant ainsi les 3.74 milliards envisagés par les experts.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a grignoté 0.08%, soutenu par des matières premières en grande forme.
Les mastodontes du secteur que sont BHP Billiton et Rio Tinto raflant respectivement 1.88 et 1.54%, et le cuivrier Xstrata 0.51%.
Le premier, plus importante compagnie minière au monde, avait auparavant révélé que sa production de minerai contenant trois quarts de fer avait gonflé de 14% grâce à l'extension de ses mines et de son port d'Australie.
Tesco était aussi parmi les têtes d'affiche, le plus gros détaillant britannique s'élevant de 1.82% après avoir déclaré une amélioration de 1.3% de ses bénéfices annuels, s'engageant par ailleurs à investir 1 milliard de livres sterling afin de redécorer ses magasins du Royaume-Uni, les consommateurs n'ayant pas mordu à l'hameçon de sa campagne de promotions.
La City était aussi en forme, la Royal Bank of Scotland gagnant 0.83% et Barclays 0.47%, Lloyds Banking et HSBC Holdings se contentant de 0.13 et 0.12%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.11% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.1%.
Les autorités des Etats-Unis devraient pour leur part publier cet après-midi leur inventaire des réserves pétrolières nationales.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a ainsi régressé de 0.36%, le CAC 40 français de 0.33%, et le DAX 30 allemand de 0.14%.
Les enchères très attendues de dettes espagnoles à court terme d'hier ont légèrement rassuré en remplissant les objectifs d'émission de 3 milliards d'euros en bons du trésor, mais leurs frais ont presque doublé.
Les observateurs demeuraient toutefois inquiets que le gouvernement du pays ne parvienne pas à réaliser les réductions de déficits escomptées alors que flotte le spectre de la récession et puisse devoir avoir recours à un plan de sauvetage, contribuant à assombrir l'atmosphère.
Le moral se trouvait aussi affaibli par les résultats américains en demi-teinte d'hier, ayant échoué à constituer une image rassurante de la relance nationale.
La finance était elle aussi en demi-teinte, le français BNP Paribas prenant 0.61% et l'ING groep nééerlandais 0.57% tandis que leur collègue allemand Deutsche Bank laissait échapper 0.25%.
Le groupe pétrolier espagnol Repsol a pour sa part plongé de 1.92% après que l'Argentine ait rejeté son exigence d'une compensation de 10.5 milliards d'USD suite à la saisie par la présidente Cristina Fernandez de Kirchner de sa branche YPF SA, justifiée par le manque d'investissements effectués dans un des plus grands pays d'Amérique du Sud.
Concernant le reste du domaine énergétique, Statoil ASA, premier producteur d'or noir norvégien, a par contre engrangé 2.38% suite à l'annonce de son feu vert pour la vente des 54% qu'il détient dans Statoil Fuel & Retail.
Le brasseur Heineken a également contribué à tirer les marchés vrs le haut avec un bond de 3.88% après avoir enregistré 3.83 milliards d'euros de rentrées au premier trimestre, dépassant ainsi les 3.74 milliards envisagés par les experts.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a grignoté 0.08%, soutenu par des matières premières en grande forme.
Les mastodontes du secteur que sont BHP Billiton et Rio Tinto raflant respectivement 1.88 et 1.54%, et le cuivrier Xstrata 0.51%.
Le premier, plus importante compagnie minière au monde, avait auparavant révélé que sa production de minerai contenant trois quarts de fer avait gonflé de 14% grâce à l'extension de ses mines et de son port d'Australie.
Tesco était aussi parmi les têtes d'affiche, le plus gros détaillant britannique s'élevant de 1.82% après avoir déclaré une amélioration de 1.3% de ses bénéfices annuels, s'engageant par ailleurs à investir 1 milliard de livres sterling afin de redécorer ses magasins du Royaume-Uni, les consommateurs n'ayant pas mordu à l'hameçon de sa campagne de promotions.
La City était aussi en forme, la Royal Bank of Scotland gagnant 0.83% et Barclays 0.47%, Lloyds Banking et HSBC Holdings se contentant de 0.13 et 0.12%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.11% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.1%.
Les autorités des Etats-Unis devraient pour leur part publier cet après-midi leur inventaire des réserves pétrolières nationales.